- the natural born universal nightmare, mr. anderson *

C'est bon desolez, j'ai dit que je n'était pas sur quand même!

Nan Ryl' aurait pas crier sur moi quand même n'est-ce pas ? ( Je sais que c'est de l'humour je suis pas debil. )

PTDR.

@Linky: Mais tagueul toi!

Rentrons directement dans le vif du sujet et retrouvons le président de la WWE, Vincent Kennedy McMahon, avec le champion Universal de la Nation of Wrestling, Ken Kennedy.



VINCE McMAHON - Ken, tu voulais me voir ?

KEN KENNEDY - En effet.

VINCE McMAHON - Tu veux que je te fasse signer un contrat à durée indéterminé sur le champ, c’est ça ?

KEN KENNEDY - Pas exactement, non.

VINCE McMAHON - Que veux-tu alors ?

KEN KENNEDY - Je me demandais juste pourquoi est-ce que Christian Cage, que j’ai battu comme je l’avais dis, était encore sous contrat avec la nation de la lutte ?

VINCE McMAHON - Je dois y aller…



KEN KENNEDY - Ne pars pas si vite, j’ai encore quelque chose à te dire.

VINCE McMAHON - Oui ?

KEN KENNEDY - Je ne suis pas en colère contre toi. Je comprends parfaitement le fait que tu ne veuilles pas engager un lutteur aussi pitoyable que Christian.

VINCE McMAHON - Oui, et de toute manière, je ne peux pas le blairer ce garçon-là.

KEN KENNEDY - J’ai peut-être quelqu’un pour toi.

VINCE McMAHON - Qui ça ?

KEN KENNEDY - Carlito, ça te dit quelque chose ?

VINCE McMAHON - Non.

KEN KENNEDY - Normal.

VINCE McMAHON - Qui est-ce ?

KEN KENNEDY - Ma prochaine victime.

VINCE McMAHON - Et pourquoi est-ce que je devrais l’engager celui-là ?

KEN KENNEDY - Parce qu’il est cool.

Fin de retransmission. Je ne vais quand même pas faire la même chose que contre Ozkiller. Essayons autre chose, tu veux.

Nous sommes à NoW or NeVer, trente-sixième du nom. Le programme n’est pas encore commencé. La moitié des lutteurs sont en retard ce soir, le spectacle ne peut donc pas démarrer. En attendant, Carlito essaie tant bien que mal de chauffer la foule en organisant un Carlito’s Cabana. Le souci pour l’homme à la pomme est que son invité de ce soir n’est pas très bavard. Et pour dire, il s’agit ni plus ni moins d’Umaga. Carlito en profite pour essayer de passer les deux dernières semaines de sa triste carrière pour un exploit sans précédent dans l’histoire de la lutte. La foule commence à s’endormir. Les fans de la NoW trouvent Carlito ennuyeux. Heureusement que quelqu’un vient mettre fin à cette mascarade…

??? - Boring, boring, boring.



En voilà quelqu’un de très bavard. Mister Kennedy fait son entrée alors que les fans de la nation de la lutte continue le chant lancé par l’homme aux multiples championnats.

KEN KENNEDY - Je rêve ou c’est carnaval sur le ring de la NoW ? Excusez-moi messieurs, je n’ai pas de déguisement, pas de perruque et encore moins de ceinture en plastique… Non, j’ai bien mieux que ça. La mienne est en or, et ouais !



KEN KENNEDY - Nous y voilà, mesdames et messieurs. Les pseudo champions par équipe : Carlito et… Primo ? T’as pris du poids mon grand, fais rapidement quelque chose avant de sombrer dans l’obésité.

Ouais, il confond Umaga et Primo. Et alors ?

KEN KENNEDY - Mais je ne suis pas ici pour parler de la prise de poids de Primo Colon. Je suis ici pour parler de toi, Carlito. Je suis ici pour te faire comprendre une bonne fois pour toute pourquoi est-ce que tu ne pourras pas me battre ce soir.



KEN KENNEDY - Avant de commencer, laisse-moi te dire que j’ai donné un billet au technicien de cette nation pour qu’il coupe ton micro. Pour résumé, tu vas devoir m’écouter jusqu’au bout sans jamais pouvoir rétorquer. C’est aussi ça d’être champion universel, mais ça, tu ne peux pas le comprendre.

Carlito vérifie, son micro est bien coupé. Il est baisé, c’est comme ça.

KEN KENNEDY - Combien de fois vais-je devoir t’expliquer qu’il y a deux semaines, lors de NoW or NeVer, je me suis couché pour vous offrir la victoire ? Ou plutôt devrais-je dire pour offrir la défaite à Christopher Daniels. Oui, Carlito. Je n’ai pas fais ce que j’ai fais lorsque j’étais sous le masque de Suicide pour toi, pour Primo, pour vous. Je l’ai fais pour emmerder Christopher Daniels, ni plus ni moins. Cela aurait pu être la Team 3D, les Steiners Brothers, les Nasty Boys, The British Bulldogs, The Hart Foundation, The Headshrinkers, The Legion of Doom, New Age Outlaws ou encore... Les Colons. Cela n’aurait absolument rien changé puisque je me serai couché de la même manière. Tu n’as pas réalisé l’impossible. Tu n’es pas parvenu à faire le tomber sur le champion poids lourd de cette fédération, non. Tu es juste celui qui était là, à ce moment là, à cet endroit là pour réaliser ce que je voulais réaliser ce soir là. Je me suis servi de toi, je le reconnais. Je t’ai utilisé comme une vulgaire marionnette, je le reconnais. Je t’ai offert une victoire, je le reconnais. Carlito a réalisé le pinfall gagnant sur Mister Kennedy… Kennedy ? Je ne le reconnais pas puisqu’il ne s’agit en rien de tout ça. Accepte-le une bonne fois pour toute Carlito : tu ne m’as pas battu, tu ne m’as jamais battu et jamais tu ne me battras.



KEN KENNEDY - D’ailleurs, si j’avais su à quel point cet épisode allait te rendre ridicule, j’aurai donné la victoire à Primo, ici présent et… Qui a vraiment pris du poids, putain. C’est à ce moment là d’ailleurs que j’en viens à en parler de ce qu’il s’est passé la semaine dernière. Sais-tu réellement ce qu’il s’est passé la semaine dernière dans ce même ring, huh ? Je t’ai, une nouvelle fois encore, offert la victoire. Pourquoi est-ce que je t’ai offert la victoire ? Parce que cette brute de Rhino t’a coupé en deux sous mes yeux. Parce que cette brute de Rhino voulait tout détruire sur son passage, moi y compris puisque j’en ai fais les frais après le match. Je voulais, pour ma part, combattre contre toi dans les règles de l’art. Malheureusement pour moi, c’est impossible en ce moment. Et ce sera impossible encore une fois ce soir puisque Christopher Daniels arbitra ce combat. J’ai compris après coup que tout ce qui t’intéresse, c’est la victoire. Tu la veux à n’importe quel prix. Tu la veux coûte que coûte, quitte à en laisser de côté les bases de la lutte, le respect, la loyauté et les règles. Quand est-ce que j’ai compris cette chose ? Lorsque tu as laissé Rhino me couper en deux aussi, sans même bouger le petit doigt. J’ai sauvé tes fesses plus d’une fois durant nos carrières respectives. Je t’ai offert deux victoires. Et comment est-ce que tu m’as remercié ? En me laissant me faire humilier par Rhino et Christopher Daniels. Alors oui, Carlito. Oui, tu as obtenu, techniquement, deux victoires contre moi. Mais officieusement, tu n’as absolument rien remporté. Et ce soir, je te le prouverais une bonne fois pour toute. Il n’y aura pas de traitement de faveur, pas de gentillesses émanant de ma part, absolument rien. Je vais te détruire sur ce même ring, je vais te battre à plate couture et rien ni personne ne m’empêchera de te botter les fesses et d’obtenir la victoire contre toi. Tu comprendras tout ça, après notre combat, lorsque tu remarqueras à quel point tu as été impuissant.

Carlito n’est pas content, il en oublie que son micro est coupé. Le ridicule ne tue pas, non.



KEN KENNEDY - Impuissant, oui. C’est le bon mot. Ce mot est l’adjectif parfait pour caractériser ta pitoyable carrière au sein de la Nation of Wrestling. Ces deux victoires sur le papier t’ont rendus prétentieux, hautain et présomptueux. Dois-je te rappeler d’où est-ce que tu viens ? Dois-je résumer ton parcours cauchemardesque pour te faire comprendre les choses ? Je ne crois pas. Ta carrière, mon grand, a réellement démarré lorsque tu es revenu de blessure. Que s’est-il passé pendant ces deux longs mois ? Personne ne le sait. Le fait est que depuis ton retour, tu es invaincu. C’est ce qu’il se dit et c’est que tu ne cesses de répéter un peu partout, même lorsque la situation ne s’y prête pas. Mais qui étais-tu avant cette blessure, huh ? Tu n’étais qu’un loser. Oui, un loser. Tu as voulu rivaliser avec les nombreuses équipes sur le marché aux côtés de ton frère. Tu as échoué. Tu as voulu rivaliser avec la Team Priceless et tu as échoué. Tu as voulu rivaliser avec La Resistance et tu as échoué. Tu as voulu rivaliser avec Trish Stratus et tu as échoué. Tu as voulu rivaliser avec Chris Jericho et tu as échoué. Tu as voulu rivaliser avec John Bradshaw Layfield et tu as échoué. Tu as voulu rivaliser avec Samoa Joe, et tu as échoué. Et je pourrai en citer encore et encore mais le temps ne me le permet pas. Mais revenons quelques instants sur ton humiliante défaite contre Trish Stratus. Carlito, est-ce que tu te rends compte que tu as perdu contre mon ex-petite amie ? Carlito, est-ce que tu rends compte que tu t’es fait raser la tête par mon ex-petit amie ? Carlito, bon sang, est-ce que tu te rends compte que la honte de ta vie a été engendrée par mon ex-petite amie ? Comment oses-tu croire une seule seconde que tu puisses me battre ce soir ? Comment oses-tu une seule seconde te vanter des résultats de tes deux derniers matchs alors que tu as été incapable de faire quoi que ce soit contre mon ex-petit ami ? Ta petite série de victoires consécutives prendra fin ce soir, accepte-le dès maintenant. Et par pitié, arrête de vanter le fait de ne pas avoir perdu depuis un mois ou deux puisque cela ne représente absolument rien à côté de ma série d’invincibilité.



KEN KENNEDY - Carlito, je vais te battre ce soir. Tu ne fais pas parti de ma division, tu ne fais pas parti de ma ligue, nous n’avons pas la même graduation au sein de la nation de la lutte. Tu vas, ce soir, effectuer ton troisième main event de suite. Est-ce que tu te demandes pourquoi est-ce que tu es en main event ? Il y a deux semaines, tu as été placé en haut de carte parce que tes adversaires s’appelaient Christopher Daniels et Suicide. Christopher Daniels est l’aspirant numéro un à mon championnat. Suicide était le mystère du moment. Ce sont eux qui ont été placés en main event, pas vous. La semaine dernière, tu as été placé en main event parce que tu étais contre moi, ni plus ni moins. C’est moi qui suis placé en main event, pas toi. En ce qui concerne ce soir, c’est la même chose, la même explication, la même justification. Lorsque nous avons combattu ensemble contre la Legacy de Randy Orton, tu as été en main event parce que tu étais à mes côtés. Tous les main events que tu as pu faire au sein de la nation de la lutte sont plus ou moins liés à moi, Mister Kennedy. Si tu as fais des main events, c’est grâce à moi. Ne vas pas croire que les dirigeants de cette fédération voit quelque chose en toi de prometteur pour le futur de cette fédération puisque ce n’est pas le cas. Il y a un terrible fossé entre toi et moi. Tu n’es pas encore prêt ne serait-ce que de m’arriver à la cheville. Tu n’as absolument rien prouvé au sein de cette fédération, et ce n’est pas ton championnat Dudleyville qui me fera penser le contraire.



KEN KENNEDY - Ce n’est pas non plus ta récente victoire contre mon plus grand ennemi, Randy Orton, qui me fera penser le contraire. Tu as battu un homme meurtri, humilié, froissé, blessé, malmené et torturé. Tu n’as pas battu le même Randy Orton que j’ai battu lors de Never Backdown I. Tu as battu ce qu’il restait de ce garçon-là après l’évènement annuel de la Nation of Wrestling. C’est moi qui ait meurtri cet homme. C’est moi qui ait humilié cet homme. C’est moi qui ait froissé cet homme. C’est moi qui ait blessé cet homme. C’est moi qui ait malmené cet homme et c’est moi qui ait torturé cet homme. Tu n’as pas battu mon challenger de Never Backdown I. Tu as battu ce qu’il pouvait bien rester de ce garçon-là après notre affrontement. Mais oui, techniquement encore une fois, tu as battu un ancien aspirant au championnat Universal. Et oui, encore une fois, c’est à moi que tu dois ce soudain succès. C’est moi qui ait propulsé la division par équipe entre autres. C’est indirectement grâce à moi que tu es champion Dudleyville. Tout ce succès, tout ton succès est engendré par moi. Que ce soit de manière directe, ou indirecte, c’est moi qui construit le Carlito que nous pouvons voir en ce moment, bien que tu te comportes comme une vraie ordure depuis quelques temps. Comportement qui changera à la fin de notre rencontre, lorsque tu auras perdu et lorsque tu auras compris que je suis bien plus qu’un guerrier. Tu comprendras pourquoi est-ce que je suis le meilleur lutteur du monde et cette défaite te permettra, comme pour tous les autres qui sont passés avant toi, d’aller de l’avant. Parce qu’après notre match, tu connaîtras tes limites, toutes tes capacités. Je vais te pousser, te heurter, je vais réveiller le monstre qui sommeille en toi. Je vais te forcer à tout donner avant de t’achever. Tu perdras, mais tu ressortiras quand même victorieux de ce combat. Tu deviendras un meilleur lutteur et une meilleure personne.



KEN KENNEDY - Tu comprendras alors que tu ne m’as pas battu la semaine dernière. Tu comprendras alors que tu ne m’as pas battu non plus il y a deux semaines. Tu comprendras aussi alors que tu te comportes comme une pourriture. Tu cesseras d’être égoïste et tu offriras enfin un peu plus d’exposition à ton jeune frère, Primo. Parce que dans le fond, pourquoi est-ce que ce n’est pas Primo qui réalise ce combat contre moi ? Pourquoi est-ce que ce n’est pas Primo qui foulera le ring de la nation de la lutte contre le plus grand champion de l’histoire de cette fédération ? Parce que tu es avare de succès, parce que tu veux plus que tout saisir, toi aussi, cette opportunité. Tu es envieux de la personne que je suis. Tu es jaloux de mon succès, de mes performances, de mon talent et de ma force mentale. Tu es désireux d’essayer de battre, pour de vrai, Mister Kennedy. Mais tu sais tout aussi bien que moi que tu n’y parviendras pas. Tu sais que tu ne peux pas me battre. Tu sais que tu n’as pas les moyens d’y parvenir. Alors oui, pourquoi est-ce que tu n’as pas donné cette chance à Primo qui souffre actuellement de boulimie chronique, huh ? Tu n’es qu’un rapiat, tu es cupide et radin. Tu l’as toujours été dans le fond et c’est pourquoi j’ai insisté pour que nous nous fassions face. Parce que dans le fond encore une fois, je t’aime bien Carlito. J’aime tout ce talent. Mais je n’aime pas ce Carlito et je n’aime pas la manière dont tu gâches tout ce talent. Tu es en train de ruiner les plus belles années que peut avoir un lutteur durant sa carrière. C’est pour toi le moment d’évoluer, d’avancer et de devenir un grand lutteur. C’est pourquoi j’interviens, c’est pourquoi je vais te décimer ce soir et c’est pourquoi… Tu ne me battras pas.



KEN KENNEDY - Pense un peu à ton frère, pense à son championnat Dudleyville. Tu es en train de faire l’erreur de t’enfermer avec moi. Tu ne penses qu’à ça. Tu n’arrêtes pas de jouir de cette exposition et de la manière dont se déroulent les récents évènements. Et au final, tu en délaisses ton frère. Tu en oublis le fait que dans deux semaines, la vieille de Noël, tu devras défendre ton championnat. Vous devrez défendre vos championnats. Tu es en train de perdre cette concentration et tu inverses tes priorités. Si tu veux être un grand champion, tu dois te focaliser sur ton championnat. Pas sur ton simple adversaire en attendant le moment fatidique. Tu crois que pendant que je te parle, j’en oublie cette raclure de Christopher Daniels ? La réponse est non. Tu n’es pas ma priorité. Je sais encore classer dans l’ordre d’importance mes projets. C’est pourquoi je suis meilleur que toi, sur tous les fronts. Toi, tu n’es pas capable mentalement de réaliser tout ce travail. Et si tu continues dans cette voie là, tu feras perdre le titre de ton jeune frère. Pense à ton frère avant de penser à toi et à ta petite personne. Remets-toi en question. Chose que je sais faire plus que tout. C’est pourquoi les Kennedies sont meilleurs que les Colons, soit dit en passant. Ne fais pas l’idiot. Ne démolis pas tout ce que tu as construit depuis des mois. Ne sombre pas dans la prétention. Admets le fait que tu es inférieur à moi et peut-être que tu parviendras à devenir meilleur. Cela va bientôt faire un an que je suis invaincu. Ma dernière défaite remonte à Christmas Chaos justement, celui de l’année dernière. J’ai la ferme intention de me présenter à cet évènement en sachant que je suis invaincu depuis un an. Je me dois de terminer cette histoire, d’officialiser ce record de manière symbolique. Ce n’est pas toi, Carlito, qui m’empêchera d’y accéder. Je ne suis plus qu’une simple superstar. Je forme des superstars toutes les semaines. Tu n’es qu’un autre pion sur mon échiquier. Oui, tu n’es qu’un pion. Et le roi de cet échiquier n’est nul autre que…



KEN KENNEDY - MISTER...



KEN KENNEDY - KENNEDY...



KEN KENNEDY - ...



KEN KENNEDY - KE...



Primo décroche la tête de Mister Kennedy, d’un simple coup de pied dans les dents. Ken Kennedy vole par-dessus la troisième corde ! Mais attention, c’est un putain de champion. Il est déjà debout le mec, c’te beaugosse.



KEN KENNEDY - Contrairement à ma victoire qui sera plus que cool… Ca...

Il volera toutes les catch-phrases, comprend-le.

KEN KENNEDY - THAT’S NOT COOL !

Le combat entre Carlito et Mister Kennedy aura enfin lieu. Ne manquez pour rien au monde les résultats. Qui l’emportera ? On le saura dimanche soir. Enfin, moi, je le serai avant ça mais bon. Merci Shad, et bonne chance.

Bonus.



SHAD - Je vais niquer ta série d’invincibilité, connard.

BES - Tu rêves, buddy.

SHAD - Fuck le respect, je vais t’fumer.

BES - Ouais, fuck le respect.

SHAD - Et dire que t’as osé faire un match avec Carlito sur l’EROW, bouffon.

BES - Qu’est ce que je pouvais pas te supporter sur l’EROW, putain.

SHAD - C’était réciproque, crève-la-faim.

BES - Et dire que ça a bien changé depuis, enculé.



Ouais, ok.

Comme d'habitude , un RP avec des arguments bien construit et bien mis , une gimmick parfaitement respecter , l'histoire avec Kennedy qui rejoint sur le ring Carlito , pour lui expliquer une défaite , j'ai adorer lire.Kennedy qui confond les deux la , j'ai aussi bien rit a l'Intro , l'idée de base est bien , même trés bien , ensuite pour finir , le Bonus qui est super , donc trés bon RP , même si ça peut être beaucoup mieux , trés bon RP

Ok d'accord.
Déjà, ton bonus est pas mal (), marrant et ça va bien avec les images.
Après le RP, tu joues bien le rôle de la grande gueule et tu trouves une bonne explication au fait que Carlito n'ouvre pas sa bouche. J'ai lu ce RP très vite, parce que tu écris toujours aussi bien et c'est un texte fluide et intéressant. Tu pousses toujours le lecteur à aller lire la suite, sans pour autant avoir eu une idée très originale qui révolutionnera la NoW. (en plus t'as repris l'idée de notre co-op, bâtard.)
Le fait que tu dis que Carlito est à ce niveau grâce à toi, c'est bien trouvé. Tu trouves de bons rapprochements, bien joué. Tu arrives aussi à placer de l'humour avec Primo/Umaga (RIP), bien vu aussi.
En bref c'est un bon RP, qui ne casse pas la baraque ok, mais c'était cool à lire. Bravo.

Oh putain, je vais les lire tout le temp tes RP, les arguments sont super pour montrer que tout est à la base de Kennedy pour ce que Carlito soit venu Carlito. Le Umaga/Primo est plutôt drôle. Tu enchaine les gros pavés mais ca respecte toujours la situation. Le pauvre Carlito qui ne peut pas parler, lol. Tes phrases s'enchaine bien, j'ai trouver l'introduction un peu innutile mais plutôt drôle à la chute. Un très bon RP même si on s'y attendait. Bravo à toi BES. J'aime beaucoup tes nouvelles images!