- the natural born universal nightmare, mr. anderson *

Même que je rends les commentaires cette semaine, Bave

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Free-League Champ' Nombre de messages : 762 Date d'inscription : 13/08/2009

Enorme !
Perso', j'adhère complétement à ton RP.
Au début, j'ai eu un poil d emal à comprendre ce qui se passer, mais au final, ça coule de source et on se retrouve encré dans ton RP, le déroulement de l'histoire est vraiment très bonne avec d'un côté Trish et sa mission secrète, et Anderson avec son pote, Richard.
Les arguments sont tranchants, ouais, même si j'aurais bien aimer avoir des arguments sur le Batista de la NoW vraiment, et non, ces faits et gestes du passé.
Ton orthographe et ta façon de t'exprimer reste parfaite, vraiment.
C'est à ce moment-là que je me rends compte vraiment pourquoi tu restes le meilleur de cette Nation.
Bravo pour cette production, et merci pour l'opportunité offerte de t'avoir affronter.

EA. | r.k.o.` a écrit:: et merci pour l'opportunité offerte de t'avoir affronter.

C'est toi qui le voulait, ce match. Ninja

Free-League Champ' Nombre de messages : 762 Date d'inscription : 13/08/2009

BES-3 a écrit:

EA. | r.k.o.` a écrit:: et merci pour l'opportunité offerte de t'avoir affronter.

C'est toi qui le voulait, ce match. Ninja

Oui, et je suis très heureux de l'avoir eu, celui-là Sournois

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Nombre de messages : 380 Age : 30 Date d'inscription : 16/12/2009

Wowe! Ah bas la chapeau... J'adore le contexte! Tellement bien pensé et très très très original! Des arguments tranchant un par dessus l'autre et on voit que tu ne perds pas du poil de la bête.. T'affronter c'est comme carreser un ours dans le sens contraire du poil.. Tu es certain d'avoir une racler.. Ta guimmick est plus qu'intéressante et tu tourne les phrases tellement à ton avantage.. Tu m'as eu.. Je crois que j'ai changer mon orientation sexuelle aux Rps NAH !

Euh non quand même pas Wink

The Crow a écrit:: T'affronter c'est comme carreser un ours dans le sens contraire du poil.. Tu es certain d'avoir une racler..

Vive les expressions québécoises, Happy

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Vous savez pas ce que vous perdez pour ce soir, quand je rendrai les commentaires Ninja

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ENORME. Franchement ce Roleplay était simplement énorme je me suis bien fendu la gueule avec ton RP et je me suis éclaté, j'ai eu un grand plaisir à le lire, et on accroche, on aime ça, tu as su nous passionner et du coup j'ai lu ça d'une traite, et j'ai beaucoup aimé
La gimmick est là & on sent que tu as plaisir à maitrîser Anderson, tu t'éclates avec.
Les arguments sont hyper bien structurés, tu vas toujours au bout de l'idée, tu l'exploite completement
L'originalité est très bien trouvée, vraiment une idée de génie, c'est super bien recherché et du coup tu nous ponds un nouveau bon RP
Je peux juste te dire BRAVO Smile

Merci,

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Admin Nombre de messages : 3996 Age : 30 Date d'inscription : 18/09/2009

Oui, BES est bien le meilleur.
Comme je te l'ai dis hier sur msn, tu regardes trop de séries/films Américaines, c'est incroyable. Le scénario est énorme, le coup du double appel au téléphone dans la chambre d'hôtel, c'est Priceless. Le coup du rendez-vous avec Trish qui est un ex de Kenneth et de dire qu'ils sont ensemble à nouveau, c'est du grand art.
T'as première partie argumentative, au resto, elle est très bonne, bien trouvé et correspond très bien à l'air actuelle. La seconde est moins bonne, à mon goût, mais elle tient quand même la route même si elle fait plus ou moins tâche dans un si bon RP.
J'allais oublier, l'humour présent dans le RP et la fluidité, ça donne envie de lire.

Le sujet est excellent ! Tu reprend bien les mimiques du film (oui je l'ai vu, un sacré bon film au passage), tout en le tournant a ta sauce. Les arguments sont encore bon voir même très bon et sa fait mal, t'a de l'humour, t'as la fluidité de ta prod' ce qui donne le bon ton et l'envie de lire. La seconde partie est intéressante et personnelement j'ai retrouvé le Mister Kennedy mais en Anderson cet année. La partie est sympa, il y a des arguments mais je sais pas, perso' j'ai moins aimé. En tout cas, tu nous le fou encore dans le cul cette semaine et on kiffe comme des salope Ninja

Right Hand J.Morrison a écrit:: on kiffe comme des salope

Fait quand même attention à ce que tu dis, toi. Fuck !

Nombre de messages : 163 Age : 33 Date d'inscription : 05/11/2009

Je te l'ai dis hier, tu n'as pas le droit de t'arrêter quand tu nous ponds encore de telles productions ! J'ai pas grand chose à rajouter sur ton RP ( la plupart des choses est dans la partie booker ) si ce n'est encore une fois un grand bravo et merci pour avoir lâcher un RP aussi fluide et agréable à lire.

L'histoire est très bonne, tu fais bien les choses.

C'est bien , c'est beau , c'est BES...

BES-4 a écrit:

Right Hand J.Morrison a écrit:: on kiffe comme des salope

Fait quand même attention à ce que tu dis, toi. Fuck !

C'étais une métaphore qui décrivait si bien la situation pourtant Happy

C'est encore une super production, pour changer. Le Contexte est placé et colle logiquement au personnages. On pourrais t'en vouloir d'utiliser Trish mais, après tout tu es Anderson, et on peut rien te dire. Tu l'utilise intelligemment à tes fins. Tes Arguments sont dévastateurs. Tu as même réussi à exploité celui sur ses parents Philipain et Grec, et celui du Triple meurtre qu'il a vu. Personnellement j'ai pas oser le faire, de peur que ça fasse tache, mais toi tu ne fait qu'enrichir tes propos. La Classe! J'ai été très flatté de faire partie de ta Production, tu utilise Richard très bien, j'ai rien à dire. Tu as sus lier nos deux histoires et ça passe bien. Tu es notre dieu à tous, BES.

Samedi 7 Août, 17h28.
Orangeburg, South Carolina.

Vous vous conformerez à l’identité que nous vous donnerons.
Vous n’aurez aucun signe distinctif.
Vous ne vous distinguerez en rien.
Votre image toute entière est façonnée de manière à ne laisser aucun souvenir.
Vous êtes une rumeur, une impression de déjà vu.
Vous n’avez pas d’existence : vous n’êtes jamais né.
L’anonymat est votre nom.
Le silence est votre langue maternelle.
Vous ne faites plus partie du système.
Nous sommes au-delà du système. Nous le dépassons. Nous le transcendons.
Nous sommes les NoWarriors.

La scène suivante se déroule à Orangeburg, South Carolina. C’est dans cette ville d’une dizaine de milliers d’habitants que les gladiateurs de la nation de la lutte présenteront demain le cinquante-sixième opus de leur histoire. En attendant le moment fatidique, les différents lutteurs conviés à participer à l’évènement ont le plaisir de pouvoir profiter du calme proposé par cette petite ville chic, également connue pour être le lieu de naissance de l’une des plus grandes superstars de l’histoire de la NoW en la personne de Shelton Benjamin. Nous retrouvons d’ailleurs Mister Anderson et D’Angelo Dinero sur un banc du parc public, les deux lutteurs feront équipe demain pour affronter Sting et Daffney. Le Pope avait rendez-vous à trente, il a deux minutes d’avance.

Deux minutes qui vont paraître une éternité pour D’Angelo Dinero puisque Mister Anderson ne décrochera pas un seul mot avant la demie. Le Pope ne sait pas pourquoi est-ce que Mister Anderson a tenu à s’entretenir avec lui et pourquoi il a tenu à faire équipe avec lui, mais le Pope est un homme curieux, il compte bien avoir quelques explications.

D’Angelo Dinero. Qu’est ce que le Pope fait ici, Kenneth ?

Mister Anderson. Il faut que je te parle de notre combat de demain.

D’Angelo Dinero. Tu as toute l’attention du Pope.

Mister Anderson. Laisse-moi t’expliquer deux trois petites choses d’abord. Il y a environ quinze cents extraterrestres sur la planète. La plupart d’entre eux vivent ici aux Etats-Unis d’Amérique. Nous n’avons jamais rien remarqué puisque la plupart d’entre eux sont très corrects étant donné qu’ils essaient juste de gagner leur vie.

D’Angelo Dinero. Attends une seconde Kenneth, tu es en train de me dire que tu as donné rendez-vous au Pope pour lui raconter des conneries ?

Mister Anderson. Ce ne sont pas des conneries, fiston. Ecoute-moi jusqu’au bout, et ferme-là. Les humains comme toi et moi en général n’en savent rien puisqu’ils ne veulent rien savoir et puisqu’ils s’en foutent après tout. Ils vivent pour eux et chacun se trouve dans sa bulle, c’est tout.

D’Angelo Dinero. Il est hors de question que le Pope écoute tout ce ramassis de conneries, hors de question. Le Pope te conseille même de mettre fin à ta carrière dès aujourd’hui parce que tous les coups qui tu as pris à la tête sont en train de te rendre complètement taré. Le Pope s’en va, maintenant.

Mister Anderson. VISSE TON CUL SUR CE BANC, TOUT DE SUITE.

Alors que D’Angelo Dinero était déjà en train de prendre la poudre d’escampettes, Mister Anderson fait signe de la main à son interlocuteur et partenaire du lendemain de se rasseoir à côté de lui. D’Angelo Dinero hésite, mais il finit quand même par se replacer à côté de Ken Anderson.

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D’Angelo Dinero. Sérieusement mec, qu’est ce que tu racontes ? Si ce que tu es en train de me dire est vrai, les gens le sauraient. Ce ne serait pas un secret pour tout le monde. La congrégation n’est pas bête, elle l’aurait remarqué depuis bien longtemps.

Mister Anderson. Pour quelques uns, c’est vrai. Sauf qu’en foule, les gens sont des imbéciles, ils paniquent, ils deviennent de vrais animaux et tu le sais ça. Il y a plus de quinze cents ans, tout le monde était sûr que la Terre était le centre de l’univers. Il n’y a même pas cinq cents ans, tout le monde était sûr que la Terre était plate et il y a seulement deux minutes de ça, tu pensais dur comme fer qu’il n’y avait personne d’autre que nous sur cette planète. Imagine ce dont tu vas être sûr… demain.

D’Angelo Dinero. La seule et unique chose dont sera sûr le Pope demain, c’est qu’il mettra une fessée à Sting et à Daffney dont la congrégation se souviendra pendant des années lorsqu’il fera équipe avec le seul et unique Mister Anderson.

Mister Anderson. Est-ce que tu as déjà été confronté à Sting et à Daffney ?

D’Angelo Dinero. Non.

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Mister Anderson. Alors tu ne sais pas de quoi est-ce que tu seras sûr demain. Je suis ici pour te mettre dans le droit chemin, pour te donner les bonnes pistes, pour t’emmener à la victoire contre ces deux renégats. Certaines de ces créatures sont ici légalement, ils ne cherchent qu’à vivre leur vie tranquillement. D’autres, comme Sting et Daffney sont ici pour faire du mal à l’espèce humaine. C’est à ce moment là que des personnes comme toi et moi interviennent.

D’Angelo Dinero. Sting et Daffney ne sont pas des extraterrestres, ils ont juste des problèmes psychologiques.

Mister Anderson. Ecoute-moi fiston. Les maladies psychologiques n’existent pas, les déficiences mentales n’existent pas, les maladies incurables n’existent pas non plus. La trisomie, les hôpitaux psychiatriques, les maladies vénériennes, les maladies sexuellement transmissibles, le sida, le cancer, les animaux sauvages, les animaux domestiques, même les attaques du onze septembre contre les tours jumelles ne sont que des inventions du gouvernement. Ouvre les yeux, fiston. Nous vivons dans un monde où le mensonge est roi. Nous vivons en cohabitation avec les ovnis depuis des siècles.

D’Angelo Dinero. T’es complétement taré, putain.

Mister Anderson. Dans toutes les branches, nous cohabitons avec au moins un extraterrestre. Pourquoi à ton avis est-ce que nous ne saurons jamais qui a tué John F. Kennedy ? Que ce soit dans le monde politique, artistique, cinématographique, musical et même dans la lutte, nous devons faire face à des créatures aux intentions malveillantes. Dans chacune de ces branches, il y a des personnes comme moi qui sont désignés pour garder le tout sous contrôle. MsChif, Goldust, l’Undertaker, Tyler Durden et maintenant… Sting et Daffney. Je dois m’occuper d’eux, et c’est à ce moment-là que toi, tu interviens.

D’Angelo Dinero. C’est à ce moment-là que le Pope intervient, pardon ?

Mister Anderson. Je ne prends pas ma retraite que dans le domaine de la lutte, je me retire de tout. J’ai promis aux fans de la nation de la lutte de leur donner un héritage, c’est ce que je fais au travers de ma tournée d’adieu. Mais j’ai également promis au gouvernement de leur trouver la bonne personne pour me remplacer dans mon rôle qui n’existe pas d’ailleurs, et c’est à toi que j’ai pensé D’Angelo. Je ne vois que toi pour remplir cette difficile tâche, c’est pourquoi est-ce que je t’ai choisi comme partenaire pour demain.

D’Angelo Dinero finit finalement par éclater de rire, sauf que cela ne semble pas faire rire Mister Anderson qui reste de marbre face à la moquerie de son interlocuteur. D’Angelo Dinero essaie de faire rire son prochain partenaire mais la sauce ne prend pas. D’Angelo Dinero ne sait plus quoi penser, et si son interlocuteur disait vrai…

Mister Anderson regarde au loin, les yeux dans le vide, il attend patiemment une réaction intelligente de celui qu’il a choisi pour le remplacer en tant qu’homme en noir.

D’Angelo Dinero. Si Sting et Daffney étaient vraiment des extraterrestres, ils ne perdraient pas autant de match. Ils font partis de ceux qui ne font plus peur au sein de la nation du Pope. Le Pope n’a pas peur d’eux, extraterrestres ou non. Le Pope ne voit absolument pas en quoi ce que tu lui racontes changera quelque chose à ce qu’il se passera demain sur le ring de la nation.

Mister Anderson. La mission est de faire en sorte qu’ils ne remontent plus jamais dans un ring de la nation. Ils ont eux aussi des qualités et des défauts.

D’Angelo Dinero. Le Pope vient de comprendre pourquoi est-ce que tu lui racontes tout ça, le Pope vient de toute comprendre. Tu racontes tout ce tas de conneries au Pope pour le motiver, pour lui donner la force et l’énergie d’en finir avec ces deux légumes, le Pope le comprend bien mais le Pope n’a besoin d’entendre des inventions plus que ridicules pour être motivé dans le ring de la nation. Le Pope lutte toutes les semaines devant sa congrégation, c’est pour elle que le Pope se surpasse toutes les semaines. Demain, tout sera différent pour le Pope. Demain, le Pope n’échouera pas parce que le Pope luttera devant les siens en direct du St. Paul United Methodist Church. Le Pope ne laissera rien passer au hasard et si tu veux que le Pope en finisse avec les carrières respectives de Sting et de Daffney, alors il suffit de lui demander simplement. Pas besoin de lui raconter une histoire à dormir debout.

Mister Anderson. Comment est-ce que tu crois que MsChif et Daffney parviennent à lutter parmi les hommes de notre nation, explique-moi comment ?

D’Angelo Dinero. Ce n’est pas parce que deux femmes ont réussis à se faire un nom au sein de la nation de la lutte qu’elles sont des ovnis. MsChif a réussi sa carrière parce qu’elle avait des capacités intellectuelles hors norme. Le Pope a déjà eu l’occasion d’affronter MsChif, dans un match te concernant d’ailleurs, tu as avec le Pope remarqué à quel point cette femme était supérieure intellectuellement. Daffney, elle, réussit sa carrière au sein de la nation de la lutte à cause de son esprit diabolique, démoniaque et satanique. Elle profite de la faiblesse des autres pour prendre le dessus sur ses adversaires, elle profite de la moindre occasion pour attaquer les autres par derrière. Mais le Pope ne fait pas parti de cette catégorie de lutteurs. Le Pope ne tombera pas dans l’un des pièges que peut tendre ce zombie. Daffney perce parce qu’elle n’a pas encore croisé le chemin du Pope, D’Angelo Dinero. Il ne suffira qu’au Pope qu’une bonne paire de claques pour rembarrer cette folle. Le Pope ne sera impressionné par une femme, ce n’est pas demain que cela commencera. Le Pope ne se méfiera même pas de Daffney. Le Pope se contentera de la renvoyer chez elle, que ce soit sur une autre planète ou tout simplement et logiquement à Sybil, dans le Texas. Les troubles obsessionnels compulsifs de Daffney n’auront pas raison du Silver Tongued Pugilist, du Paragon of Virtue et du Black Pope… D’Angelo Dinero.

Mister Anderson. Ce n’est pas parce que cette femme s’amuse à chanter des chansons d’Elvis Presley dans une chambre d’hôpital qu’il faut s’imaginer qu’elle n’a pas la tête sur les épaules. Ce n’est pas parce que cette femme tuerait de ses propres mains pour une glace qu’il faut s’imaginer une seule seconde qu’elle n’est pas les idées en place. Ce n’est pas parce qu’elle a été l’unes des sbires du roi John Morrison pendant quelques semaines qu’il faut s’imaginer qu’elle n’est que soumise à quelqu’un d’autre. Ce n’est pas parce que nous faisons le double de son poids que ses poings ne sont pas tout aussi destructeurs que les notre. Tout ce qu’elle fait, toutes ses actions ont un sens, plus ou moins cachés. Elle ne laisse absolument rien passé au hasard. Tu devras te méfier d’elle demain. Heureusement pour toi que tu as à tes côtés Mister Anderson, autrement dit… moi.

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D’Angelo Dinero. Le Pope n’arrive pas à comprendre comment est-ce que Mister Anderson en personne puisse présenter plus de craintes pour Daffney que pour Sting qui est contrairement à la dame une légende du business.

Mister Anderson. Il n’existe dans ce bas monde qu’une seule légende de la lutte et il se trouve actuellement à côté de toi. N’essaie pas de me dire que Sting est une légende de la lutte. Ce n’est pas parce que cela fait vingt cinq ans que tu luttes que tu es une légende. Pour devenir une légende, tu dois marquer l’histoire à tout jamais en un temps record. Tu dois atteindre le sommet de la montagne rapidement et y rester jusqu’au bout. J’en ai fais bien plus que notre adversaire de demain en deux ans que lui en vingt-cinq, c’est tout ce que j’ai à te dire à ce niveau-là. Sting aujourd’hui n’est qu’une pâle copie de moi-même, dans son monde à lui. Pourquoi, à ton avis, est-ce que soudainement, le cinglé Sting prend la tarée Daffney sous son aile ? Parce que même chez les ovnis, la passation de pouvoir existe. Etant donné que je vais m’arrêter, il n’est plus dans leurs intérêts de continuer à prendre des risques en y laissant Sting. Le retirer de l’équation est pour eux une sage décision, afin que leur secret reste intact. Sting n’est plus tout jeune, son passé est gigantesque au sein du business de la lutte. Il doit maintenant laisser la place à quelqu’un de jeune, de frais, de plus insane que lui. Et c’est à ce moment là que Daffney intervient. J’ai trouvé en la personne de Shelton Benjamin quelqu’un de plus fort que moi, c’est pour ça que je vais bientôt arrêter ma carrière. Sting à trouver en Daffney quelqu’un de complètement plus barjot que lui. C’est pourquoi il est en train de la former. Les attaques fortuites contre la famille Snuka ne sont pas anodines.

D’Angelo Dinero. Le Pope se moque complètement de ce que tu es en train lui dire. Pour tout dire, le Pope se moque que tu sois Mister Anderson, Sting, Daffney ou même Hulk Hogan. Le Pope se moque même que tu sois américain, sud-africain ou même mexicain. Le Pope se moque même de savoir si tu es une légende de la lutte ou non. Plus important encore, le Pope se moque même que tu sois un humain ou un extraterrestre. Il n’y a qu’une seule chose qui intéresse le Pope à l’heure qu’il est, et c’est de prendre la victoire demain contre Sting et Daffney.

Mister Anderson. Le voilà le problème chez toi, fiston. Tu ne prends pas tes adversaires au sérieux.

D’Angelo Dinero. C’est l’hôpital qui se fout de la charité, mon ami. Mister Anderson, ne reconnaissant même pas à quel point le Stinger peut être une légende de la lutte est en train de dire au Pope qu’il ne prend pas ses adversaires au sérieux. Contrairement à toi, enfant de demi-dieu, le Pope est motivé comme jamais à l’idée de faire face au Stinger demain soir. Le Pope a enfin là sa chance de prouver à la face de la lutte qu’il a les cartes en main pour devenir la superstar de demain. Le Pope ne laissera pas passer sa chance. Le Pope mettra fin à la carrière de son adversaire si c’est ce que Mister Anderson veut, parce que ce que Mister Anderson veut, Mister Anderson a. Le Pope ne croit pas un seul instant à tes histoires d’extraterrestres. Le Pope se contrefout de ce que tu peux bien lui dire à ce sujet parce que le Pope est au-dessus de tout ça, le Pope est au dessus de tout ça parce que le Pope est guidé par l’être ultime. Le Pope est guidé par la voix de sa congrégation, elle-même emmenée par la voix de dieu. Le Pope mettra fin à la carrière de Sting, le Pope mettra fin à la carrière de Daffney, le Pope peut même mettre fin à la carrière de Mister Anderson si celui-ci le désire. Le Pope est toujours…

Mister Anderson. REGARDE LA DEDANS.

D’Angelo Dinero est coupé dans son élan par un énorme flash blanc. Le partenaire de Mister Anderson vient tout simplement de se faire effacer la mémoire par le neurolaser de Mister Anderson, l’homme en noir de la nation de la lutte.

Mister Anderson retire ses lunettes et les range dans la poche intérieure de sa veste. Il regarde le Pope d’un air désespéré, ce dernier ne dit plus rien, il ne bouge plus, il est complètement abasourdi par le flash qu’il vient de prendre dans la gueule.

Mister Anderson. Tu t’appelles D’Angelo Dinero, tu es un excellent lutteur sous contrat à la nation de la lutte. Demain soir, tu feras équipe avec un certain Mister Anderson dans un match par équipe contre Sting et Daffney. Lors de cette rencontre, tu n’abandonneras pas, tu ne te laisseras pas mettre chaos par tes adversaires. Lorsque tu recevras une droite, tu en distribueras deux. Lorsque tu seras en mauvaise posture, tu ne joueras pas avec le feu et tu me donneras la main. Tu te serviras de cette rencontre pour aller de l’avant au sein de la nation de la lutte. Tu te serviras de cette exposition pour devenir plus grand et plus fort. Ce que tu viens d’entendre est simplement le fruit de ton imagination. Tu t’es tout simplement endormi sur un banc en attendant Mister Anderson qui n’est jamais venu au rendez-vous fixé par ce dernier. A la fin de la journée, tu ne te souviendras que d’une chose… THAT MISTER ANDERSON, ANDERSOOOON... IS PIMPIN.

Mister Anderson se lève et s’en va comme si de rien n’y était. Ce n’est pas en le Pope qu’il trouvera le prochain homme en noir. Il continuera sa recherche de possibles héritiers à tous les postes durant les semaines à venir, jusqu’à Never Backdown II.

D’Angelo Dinero, lui, aura tout le loisir d’extérioriser toute cette jeune fougue demain, lorsqu’il retrouvera Sting et Daffney aux côtés de Mister Anderson. Nous travaillons dans le secret, nous vivons dans l’ombre. Tel est notre mission au sein de la nation.

RP-3.
BES et Kakatus.

Nombre de messages : 380 Age : 30 Date d'inscription : 16/12/2009

Un super Rp comme è l'habitude, il fallait s'y attendre ^^. Je n'ai rien a dire tu as été fort sur tout les points ^^. Le contexte est bien amusant et l'histoire des extra terrestre bizzare, mais ingénieuse.. J'arrive au point de me demander si quelqu'un d'autre aurait sortie sa.. Est-ce que j'aurais trouver sa aussi génial? Je ne peux donner réponse è cette question.. Du moins encore un bon Rp de ta part Wink

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Admin Nombre de messages : 3996 Age : 30 Date d'inscription : 18/09/2009

Commentaire commun.
L'idée de MIB, Priceless.
Le placement des phrases du film tout au long du RP, c'est bien joué car c'est placé là où il faut. Concernant le RP en lui même, ce n'est qu'un simple dialogue au final mais on arrive à avoir un dialogue vivant, cette histoire d'extraterrestre avec le parallèle sur Daffney et Sting c'est bien joué. J'ai moins aimé l'argumentation qui en a déroulé juste après, je trouvais que ça manquait parfois un peu d'impact mais dans l'ensemble la production est fluide et homogène. MIB, what else ?

Merci, les mecs.

Nombre de messages : 115 Date d'inscription : 22/05/2010

Putin, ça faisait peur le début, je me demandais où ça partait mais au final c'est super bon. Y a de l'humour mais en même temps c'est intelligent dans l'argumentation. C'est efficace et ça montre vraiment que Daffney et Sting sont pas au niveau.
Ce qui est vraiment bon c'est le jeu de gimmick, entre le Anderson joué parfaitement dans son rôle du mec qui va laisser un héritage et du Pope qui veut absolument monter au sommet ça donnait un rendu vraiment sympa et attractif. les répliques s'enchaînent avec brio et on détache pas du truc.
Moi j'ai accroché.

Dimanche 8 Septembre 2030, 10h18.
Green Bay, Wisconsin.

La scène suivante se déroule en 2030, oui, soit vingt ans après la retraite de celui que nous connaissons tous comme étant Mister Anderson. Le natif de Green Bay est depuis revenu dans le Wisconsin, où il mène une vie paisible. Mister Anderson est le roi ici, chez lui. C’est lui qui gère toute la ville, il est même plus important que le maire, c’est pour dire. Il possède son club de bikers, sa renommée, ses avantages et de nombreux privilèges. Une vie tranquille, loin des rings… Jusqu’à ce bon matin d’un dimanche pas comme les autres, où le calme légendaire de Green Bay fut perturbé par l’arrivée d’un autre club.

L’atmosphère autour de cette arrivée imprévue était telle que la police fut dans l’obligation d’intervenir.

Unsel. Vient par ici petit que je t’explique ce qu’il se passe.

Hale. Qu’est ce que c’est que ce bordel patron ?

Unsel. La troisième guerre mondiale.

Hale. Sérieusement ?

Unsel. Non, je déconne.

Hale. Pourquoi est-ce qu’on ne les oblige pas à rentrer chez eux, tout simplement ? Je ne comprends même pas ce que nous faisons ici chef. Ce ne sont que des bikers du dimanche après tout.

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Unsel. Des bikers du dimanche, hein ? Ecoute-moi petit. Ce ne sont pas des bikers du dimanche, très loin de là. Tu as là le gratin du sport américain. D’un côté, tu as Ken Anderson. De l’autre, tu as Nelson Erazo. Je t’ai déjà expliqué plusieurs fois pourquoi est-ce que Ken Anderson était intouchable ici. Ken Anderson est une légende ici, et dans tout le pays. Il y vingt ans, Ken Anderson a battu Nelson Erazo dans un ring de lutte. Nelson Erazo avait été tellement amoché par cette rencontre qu’il en a perdu la plus importante de tous, deux semaines plus tard lors de Never Backdown II. Nelson Erazo a promis de se venger, un jour.

Hale. Ken Anderson est responsable de cette défaite à Never Backdown II, à ses yeux ?

Unsel. C’est exactement ce que Erazo pense, oui.

Hale. Et ce Nelson Erazo serait ici chez nous aujourd’hui pour ça, vingt ans plus tard ?

Unsel. Je te raconterai le reste plus tard, ça s’active.

Effectivement, ça s’active. Ken Anderson et Nelson Erazo avancent l’un vers l’autre. Ils se font finalement face au milieu de la route. Leurs sbires restent en retrait, chacun dans son coin, afin de laisser les deux hommes régler leurs comptes.

Nelson Erazo. Kenneth.

Mister Anderson. Nelson.

Nelson Erazo. Je t’avais dit que je reviendrai te voir, un jour ou l’autre.

Mister Anderson. Heureux de savoir que tu tiens tes engagements.

Nelson Erazo. Je suis un homme de parole.

Mister Anderson. Figure-toi que moi aussi, Nelson. Je t’avais dit il y a vingt ans que j’allais tout donner dans cette rencontre, entre toi et moi. Tu n’as pas voulu m’écouter, tu pensais que j’allais effectuer cette rencontre tranquillement, que j’allais prendre le tout à la légère mais ce n’est pas ce que j’ai fait parce que ça ne me correspond pas, ce n’est pas moi. Nous avons combattu jusqu’à la mort dans un match que j’ai remporté. Tu as voulu aller au-delà de tes capacités, à ton plus grand malheur puisque ton organisme n’a pas suivi ton ego. Tu as été blessé lors de cette rencontre, tu n’as rien pu faire contre Claudio deux semaines plus tard. Tu aurais dû savoir mieux que quiconque que je n’allais pas lever le pied, encore moins contre l’homme qui portait le championnat Universal sur l’épaule.

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Nelson Erazo. Mon ego ?

Mister Anderson. Oui, ton ego.

Nelson Erazo. Qu’est ce que tu veux dire par là ?

Mister Anderson. Tu as toujours cru que tu étais le meilleur lutteur de ce business. Tu as toujours cru que tu étais une légende de la nation de la lutte. Tu as toujours cru que tu étais le parrain du wrestling business. A tord, mon ami. Pour prétendre être le meilleur, il faut combattre contre les meilleurs toutes les semaines, toute l’année. Pour être le meilleur lutteur du monde, il faut surtout être capable de battre tous les autres lutteurs qui existent sur cette planète. Pour être une légende de cette industrie, il faut être capable de se donner à fond tous les dimanches, contre tout le monde, contre tous les types d’adversaires qui existent. Il faut aussi avoir remporté plusieurs championnats, plusieurs trophées, gagner le respect des anciens, de ses adversaires, du comité directeur et surtout des fans. La prétention ne suffit pas. Celui qu’on croit être ne fait pas de toi celui que tu es. Penser que tu es le meilleur n’a jamais fait de toi le meilleur, Nelson. Pourquoi ? Parce que tu n’as pas réussi à battre le meilleur, autrement dit moi. Un jour ou l’autre, quelqu’un allait te remettre à ta place. Malheureusement pour toi, cette personne, c’était moi. Le meilleur, la légende, le parrain, le padre de la lutte, il se nommait, se nomme et se nommera à tout jamais Mister Anderson, certainement pas Nelson Erazo.

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Nelson Erazo. Ce n’était que de l’exhibition, putain.

Mister Anderson. C’était mon dernier NoW or NeVer.

Nelson Erazo. A quoi ça servait d’aller jusqu’à la mort, avant ton dernier match contre Shelton ?

Mister Anderson. J’ai organisé le Ken Anderson Retirement Tour afin de sortir le meilleur de moi-même, et surtout de sortir le meilleur de mes adversaires. Tu étais l’une des personnes que je me devais de combattre avant de m’en aller, surtout que tu étais le champion Universal à ce moment-là. C’est moi qui aie emmené ce championnat majeur de la NoW sur le devant de la scène, c’est grâce à moi que les gens se sont intéressés à la nation of wrestling. J’ai donné du prestige à ce championnat, je lui ai donné une certaine valeur. J’ai laissé Christopher Daniels me le prendre parce que je savais qu’en lui laissant le titre, ce garçon-là n’allait pas détruire tout ce que j’avais construit pour la fédération et pour le championnat. En ce qui te concerne, tu as été une honte pour le championnat Universal. Tu n’as pas su tenir ce rang comme tu aurais dû le tenir. Il y avait des centaines de lutteurs qui voulaient être à ta place, et toi, tu disais grossièrement que tu n’en avais rien à faire du championnat. Tu es une honte au sein du wrestling business, un putain de cancer pour tous les autres combattants. Tu n’étais qu’une vaste blague pour tous, même pour moi. Je t’ai emmené au-delà de tes limites pour te tester, pour voir si oui ou merde tu étais un lutteur digne de tenir le championnat Universal sur l’épaule. Je ne t’ai pas cassé la gueule pour rajouter une victoire facile à mon palmarès, mais pour te punir de tout le mal que tu as fait à ce titre. Jamais la nation of wrestling avait eu un champion aussi peu crédible, heureusement même que tu as échoué à Never Backdown II.

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Nelson Erazo. C’était mon Never Backdown, pas le tien.

Mister Anderson. Tous les Never Backdown ont été les miens.

Nelson Erazo. Tu as ruiné ma carrière en deux semaines.

Mister Anderson. Et si c’était à refaire, je recommencerai sans hésiter une seule seconde. Suis-je à blâmer du fait que j’ai volé la vedette à tout le monde deux années de suite, hein ? Je ne pense pas, non. Tu as été le lutteur le plus overrated de toute l’histoire de la nation de la lutte, ce n’est pas de ma faute. Ce n’est pas non plus de ma faute si tu n’es jamais parvenu à atteindre mon rang, certainement pas. Ce n’est pas ma faute non plus si tu n’as jamais été capable de tenir la cadence lors de notre rencontre. Tu as fait de la prison, je remportais des combats. Tu as voulu donner du rêve à quelques élèves qui n’ont jamais percés, je donnais une raison de vivre à des millions de fans. Il t’a fallu deux ans pour arriver au top, il m’a fallu deux mois. Tu as mis deux ans oui pour atteindre le sommet de la hiérarchie, il m’a fallu tout juste deux minutes pour te faire redescendre à la place que tu méritais. Ce n’est pas parce que tu avais quelques connexions à droite et à gauche que tu allais devenir le meilleur. C’est dans le ring que l’on devient le meilleur. C’est l’histoire ta vie, Nelson. Tu as toujours cru dur comme fer que tu étais l’homme le plus dangereux sur terre, mais au final, tu n’as jamais rien été. Tu n’as jamais été respecté. Tu n’as jamais su marquer l’histoire. Tu n’as jamais été crédible. Tu n’as jamais été moi. Mais tu sais, je ne voulais pas te casser la colonne vertébrale, Nelson.

Mister Anderson s’allume un cigare, parce que ça fait classe.

Mister Anderson. D’ailleurs, ravi de voir que t’es enfin sorti de ton fauteuil roulant… pendejo.

La phrase de trop, la bagarre éclate en pleine rue entre les deux clans et ce sont sur cette idée que nous allons nous laisser pour aujourd’hui. Même avec des virus, des trojans, des programmes qui ne s’ouvrent plus, je serai toujours là pour mettre une dernière fessée, pour ce dernier NoW or NeVer, mon dernier NoW or NeVer, et ça, ça n’a pas de prix.

RP-1.
BES.

Nombre de messages : 197 Age : 28 Date d'inscription : 17/06/2010

Pour moi je m'attendais à plus. Je m'attendais à un RP ou c'est que tu bave, moi personnellement je ne suis pas déçu mais face à Raylaid tu aurais pu faire un tout petit peut plus sachant que j'avais lu t'es RP avant.

Déjà l'idée est bonne d'être dans le futur où c'est que vous êtes en retraite, mais pour moi ça n'accroche pas trop.

Sinon le dialogue est vraiment super, fluide, sans faute d'orthographe. Pour moi ce RP est très bon.

La seul chose aussi c'est t'es images que j'aime pas trop.

J'avoue n'avoir jamais lu un de tes Rps auparavant et j'aurais dû plus tôt. C'est fluide, le contexte en génial, les arguments tombent sous le sens avec toi, on ne s'ennuie pas une seule seconde. On comprend pourquoi Anderson est un légende de la nation. Bravo

Je vous rends ça ce soir, okay Triste

.

Nombre de messages : 197 Age : 28 Date d'inscription : 17/06/2010

No problème.

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