Nombre de messages : 5306 Age : 2015 Localisation : Entre Paris et Marseille Date d'inscription : 27/09/2008
Sujet: Re: Never Backdown I Dim 6 Sep - 21:00
«Ladies and gentlemen. THIS MATCH IS FOR THE FREE-LEAGUE CHAMPIONSHIP ! NoW, Street Fight Rules in the NoW heavyweight division ! The only way to win is by pinfall or submission. Introducing first, he is the Cowboy from Tennessee, he is the current Free-League Champion. He stands 6-feet-0-inches tall, weighed at 230 pounds. Fighting out of Thompson Station, Tennessee. Ladies and gentlemans, please welcome... JAMES... STORM !»
SORRY ABOUT YOUR DAMN LUCK...
Voilà que James Storm fait son entrée sur son espèce de glacière à roulette. Ceinture autour de la taille, il s'arrête près du ring.
Il monte à présent sur le ring, une bière dans une main, un micro dans l'autre. Il prend la parole devant tous les fans qui le regarde.
| James Storm | Une bonne petite bière avant un match et c'est parti pour une nuit de folie. Never Backdown va marquer l'histoire, non pas parce que Sean Trip va remporter mon titre, mais bel et bien parce que je vais lui donner une bonne raclée. Trip, je sais que tu m'entends, dans quelques instants, tu vas me rejoindre sur ce foutu ring pour m'affronter. Tu sais, jamais tu n'arriveras à me river les épaules au sol et à remporter ce titre qui M'appartient. Jamais tu ne possèderas ce titre, jamais tu m'entends ? Je suis le meilleur Free-League Champion que la NoW n'ai jamais eu, je suis James Storm, the cowboy frome Tennessee, pas un vulgaire Canadien venu aux USA pour emmerder le monde.
James Storm touche sa ceinture puis reprend.
| James Storm | Tu es venu ici dans le seul but de me prendre mon titre, mais sache qu'un homme comme moi ne se laisse pas faire aussi facilement. Tu veux ce titre, tu vas donc devoir me passer sur le corps. J'en ai plus qu'assez de te voir, avec ton air hautain, me regarder comme si j'étais de la merde. Tu ne vaux rien, tu n'as pas l'étoffe d'un champion et tu ne l'auras jamais. Je n'ai pas gagné ce titre pour le perdre des mains d'un homme incapable et totalement débile. Tu penses pouvoir rivaliser avec moi ? Soit, rejoins moi ici tout de suite et commençons le combat, nous verrons si tu es aussi bon que tu en as l'air. Le petit jeu de la montre n'était qu'une façon pour moi de te faire croire que tu pourrais m'atteindre. J'ai certes perdu face à cet abruti de Durden, mais c'est pour mieux rebondir lors de ce PPV. Je vais te montrer à quel point je suis énervé après toi, j'en ai plus qu'assez de ton comportement. Tu me tapes sur le système et une fois ce match terminé et ma victoire assurée, tu te souviendras de moi comme le plus grand champion de tous les temps, comme l'homme impossible à vaincre. Oui, car je suis cet homme là, je suis James Storm, Free-League Champion, remember that.
Il boit la bière qu'il tenait dans sa main d'une traite puis demande à un officiel d'aller lui en chercher une autre dans sa glacière roulante. Un officiel s'exécute et monte sur le ring pour donner la bière à Storm. Ce dernier le remercie et reprend son discours.
| James Storm | Rien ne vaux une bière. La bière, c'est la boisson la plus énergisante sur Terre, elle requinque n'importe quel homme sur cette Terre, mais parfois, elle peut nous faire tourner la tête. Trip, in this match, je vais te montrer ce qu'un cowboy avec un fort taux d'alcoolémie dans le sang peut faire. Je vais te montrer que même avec quelques bières dans la gueule, je peux encore te mettre une bonne rouste. Tu m'as cherché, sache à présent que tu m'as trouvé, je suis prêt à t'acceuillir et te botter le cul tellement fort que même ta mère sera choqué par la correction que je vais te donner. Mais elle me remerciera un jour, elle me remerciera d'avoir botter le cul à un gros con, un putain de lutteur à la noix.
James Storm décapsule la bière et la boit devant le public. La bière dégouline sur son maillot, mais le champion n'en a rien à faire, il boit sa bière tranquillement puis, après l'avoir fini, lance la bière dans un coin puis détache sa ceinture de sa taille et la lève fièrement en l'air. Il amène le micro à sa bouche pour dire un dernier mot.
l James Storm l Comme dirait un abruti de cette fédération : Trip, if you want some, come get some ! Allez, ramène ton cul ici, j'ai pas toute la nuit à t'accorder. Si t'es vraiment un homme, tu rappliques dans la seconde, mais si tu tardes à venir, alors j'en concluerais que tes parents se sont trompés et qu'ils ont donné naissance à une petite Seanny.
James Storm donne sa ceinture à l'arbitre qui vient à l'instant de monter sur le ring. L'actuel champion regarde en direction du titantron, attendant son adversaire de pied ferme.
Linky Pitt
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Sujet: Re: Never Backdown I Dim 6 Sep - 21:00
«Now introducing the challenger. He stands 6-feet-1-inches tall, weighed at 203 pounds. From Thunder Bay, Ontario, Canada. Ladies and gentlemen, please welcome... SEAN... TRIP !»
Magloire » On peut dire qu'il est à l'heure ce petit coquinou.
Celian Varini » Oui et il se doit d'être ponctuel, il s'agit de Never Backdown I, un grand PPV pour la NoW. Quand c'est l'heure, c'est l'heure.
Magloire » Après, c'est plus l'heure.
Celian Varini » Merci Magloire pour cette réflexion assez inutile dois-je dire.
La salle est dans le noir complet, Magloire commence à avoir peur, mais l'obscurité est de courte durée puisqu'une lumière éclaire quelqu'un, debout en dessous du Natiotron. C'est Sean Trip, poing en l'air qui fait son apparition sous les huées de la foule. Il descend la rampe d'accès, une barre en fer dans la main, capuche de son pull sur la tête et sans prêter attention aux insultes profanées par les fans autour de lui. Il monte les escaliers à la gauche du ring puis s'arrête juste devant les cordes et jette un regard noir au champion puis à sa ceinture.
ST saute maintenant par dessus la troisième corde et continue de regarder James Storm, le pointant même avec cette barre de fer. Il se place ensuite sur la seconde corde, pas dans le coin, et il retire son pull, le posant dans le coin à côté de lui. Storm se recule et gueule sur Trip en lui disant qu'il devrait commencer par se battre sans armes, voir si il n'a pas peur. ST pose sa barre de fer et fait signe à Storm de venir l'attaquer. L'arbitre vérifie que tout est bon pour débuter le combat, si tout est au point. Tout est parfait, l'arbitre fait sonner la cloche et le match peut débuter.
Magloire » C'est parti mon gros kiki.
RÉSUMÉ DU COMBAT » James Storm s'avance en direction de ST et les deux commencent une épreuve de force. C'est James Storm qui l'a remporte et qui envoie à présent ST, tête la première dans un coin. Le champion enchaîne maintenant avec de violents coups de poing au visage du Canadien. Ce dernier rétorque avec un coup de la corde à linge qui fait tomber le cowboy au sol, mais il se relève tout de suite après, à l'aide des cordes à côté de lui. Voyant le champion se relever, ST le pousse dans le coin et l'assaille. Le pauvre Storm ne peut rien faire sous les coups qui pleuvent de plus en plus, il tombe même au sol dans le coin. Sean Trip, le challenger quant à lui, se recule vers le centre du ring et s'élance pour un Corner Dropkick, mais rate la cible, Storm ayant réussi à sortir du ring pour récupérer un peu. Sean Trip, lui, descend du ring et attaque de nouveau le champion. Mais cette fois-ci, Storm contre avec un Neckbreaker parfaitement exécuté. Le cowboy remonte à présent sur le ring, attendant son adversaire. Trip se relève et commence à remonter sur le ring quant soudain, ayant passé la tête sous la seconde corde, Storm y va d'un Leg Drop qui envoie le Canadien une nouvelle en dehors du ring. Le cowboy descend de nouveau en dehors du ring, relève son adversaire et le renvoie sur le ring. Puis, il regarde en dessous du ring et trouve toute sorte d'objet comme des poubelles, des chaises, des tables et j'en passe. Il sort une chaise qu'il pose sur le rebord du ring, une poubelle et un couvercle de cette même poubelle qu'il laisse en dehors du ring. Il remonte donc sur le ring avec la poubelle et la chaise. Il pose la poubelle dans un coin et prend la chaise à deux mains, attendant que Trip se relève. Une fois le Canadien debout, Storm se précipite vers lui et y va d'un coup de chaise... Non, Sean Trip vient d'esquiver le coup de chaise et envoie maintenant un violent Spinning Heel Kick en plein dans la chaise, Storm se prend donc tout en pleine figure et tombe au sol. Trip en profite et se saisit de la poubelle. James Storm se relève avec difficulté à l'aide des cordes, mais est vite renvoyé au sol par un violent coup de poubelle. Trip rigole en voyant le champion souffrir au milieu du ring, essayant d'atteindre les cordes pour se relever. Il le regarde faire et une fois relever, James Storm est de nouveau envoyé en dehors du ring par une Clothesline qui fait passer le champion, par dessus la troisième corde. «
Celian Varini » Nous avons droit à un très grand match entre ces deux hommes, pas vrai Magloire ?
Magloire » Oh oui, ils se donnent à fond les petits.
» James Storm rampe en dehors du ring, il reprend ses esprits peu à peu alors qu'au centre du ring, Sean Trip parle avec l'arbitre, lui faisant remarquer que Storm est complétement fini et qu'il devrait arrêter le match. L'arbitre lui répond qu'il n'arrêtera en aucun cas le match, Trip va devoir continuer. Le Canadien se dirige à présent vers les cordes et voit James Storm toujours au sol. Il le regarde puis s'élance et lui saute dessus, mais Storm, ayant attraper le couvercle de la poubelle avant, l'éclate contre la face de Trip qui tombe au sol. Sean Trip se tort de douleur, pendant ce temps, James Storm peine à se relever, mais y arrive tout de même. Le champion relève son challenger et l'envoie dans le ring. Storm prend une table en dessous du ring et remonte avec puis la positionne dans un coin du ring. Il relève Sean Trip et l'assaille dans le coin opposé à la table. Il lui donne de violents atemis. Puis, il tente d'envoyer Trip vers la table, mais ce dernier, malgré les coups qu'il vient de recevoir, contre et c'est Storm qui est maintenant contre la table. Trip se précipite vers Storm et veut lui faire traverser la table, mais le champion donne un coup dans l'abdomen de Trip et enchaîne avec une Suplex qui brise la table sous le choc. Storm voit là une occasion de peut-être remporter le combat, il tire son adversaire vers le centre du ring et tente le tomber. L'arbitre compte. 1, 2.. Pas trois, Sean Trip vient de contrer ce tomber et est toujours dans la partie, capable de gagner ce titre qu'il veut depuis un bon moment déjà. James Storm est énervé, il pensait que Trip n'allait pas lui donner autant de fil à retordre. Le cowboy se saisi maintenant d'une des jambes de Sean Trip et enchaîne avec un Elbow Drop. «
» Sean Trip souffre, mais James Storm ne veut pas s'arrêter là, il relève son challenger et l'envoie de nouveau dans un coin. Cette fois-ci, Storm positionne ST sur le haut du coin et y va d'une Suplex du haut du coin parfaitement exécuté. Storm tente une nouvelle fois le tomber, mais il en faut plus pour battre le jeune Canadien. Storm n'en croit pas ses yeux, il descend du ring et va chercher la chaise. Il la positionne au milieu du ring, relève ST et passe la tête de ce dernier sous son bras et veut s'élancer pour un DDT, mais Trip, qui a reprit ses esprits, contre et se dégage de l'emprise de Storm. Ce dernier veut envoyer son adversaire au sol avec une Clothesline, mais ST esquive et y va d'un Ace Crusher qui cloue le champion au sol. Il tente le tomber. 1, 2... Pas trois, le cowboy tient bon et ne compte pas perdre son titre, malgré les attaques assez douloureuses de son challenger. ST se relève, il fait de même pour son adversaire. Il envoie le cowboy dans un coin et le rue de Double Chop qui claque sur le torse du champion. Tout le monde peut ressentir la douleur qu'éprouve Storm en ce moment. ST s'acharne sur Storm jusqu'à ce que ce dernier arrive à contrer en lui envoyant une gifle qui fait reculer le Canadien. James Storm profite de ce moment où Trip ne le regarde pas pour lui porter un Spear qui cloue ST au sol. L'originaire du Tennessee tente le tomber. 1, 2... Toujours pas trois, ce n'est pas croyable. Sean Trip résiste et ne veut pas laisser tomber cette chance pour lui de se faire un nom à la Nation of Wrestling. James Storm descend du ring, il est plus que remonté par tout ça, il pensait gagner rapidement ce match et rentrer chez lui, sa ceinture sur son épaule, mais non, Sean Trip a de la ressource et veut remporter ce match de surcroit. James Storm fait quelques pas en dehors du ring puis remonte, bien décider à obtenir la victoire. Il attend que ST se relève. Ce dernier prend son temps, il se relève et reprend quelque peu ses esprits puis se retourne. Le cowboy du Tennessee s'élance pour son Last Call, mais Sean Trip esquive et passe en dessous du pied de Storm. Dos au champion, Sean Trip porte maintenant un Pele Kick à son adversaire qui tombe au sol, mais qui se relève peu de temps après, grâce à l'aide des cordes. Storm est agacé, ST s'avance vers lui pour lui porter une de ses nombreuses prises, mais Storm lui donne un coup de pied dans l'abdomen et le prend en position de son Eye of The Storm. Il veut lui porter sa prise mais ST glisse le long de son dos et en profite pour lui porter son BAD TRIP !! YES BAD TRIP !! Sean Trip applique une forte pression sur le champion, ce dernier finit par abandonner, c'est une grande victoire pour le jeune Canadien. «
Celian Varini » Il a gagné. Sean Trip a remporté ce combat. Mais quel match Magloire, on a eu droit à du grand spectacle.
Magloire » Oh mon gode, c'est pas vrai, il a gagné, il a battu James Storm.
James Storm, dépité par cette défaite, repart en backstages, sous le regard de Sean Trip qui triomphe avec sa nouvelle ceinture. Soudain, le tout nouveau champion remarque la présence de Chuck Norris dans le public. Le jeune Canadien lui balance des insultes et lui demande de se ramener sur le ring pour qu'il puisse discuter entre homme. Chuck Norris passe par dessus la rambarde de sécurité et monte sur le ring. Sean Trip pose son titre et se précipite vers l'acteur qui cloue le bec du petit Canadien avec une Clothesline. Chuck Norris continue son attaque sur Sean Trip qui ne répond pas aux attaques du Texas Ranger. Le tout nouveau champion est en train de se faire malmené par Chuck Norris qui après lui avoir mis une bonne raclée, sort du ring et repart en backstages, laissant le pauvre ST au sol sur le ring.
Linky Pitt
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Sujet: Re: Never Backdown I Dim 6 Sep - 21:02
La nuit est tombée sur Los Angeles, les secondes passent et la fin de cette soirée riche en événement s’approche. La caméra nous montre d'ailleurs un plan du Los Angeles Memorial Coliseum de nuit.
Dans sa loge, un homme semble perdu dans ses pensées, seul avec ses idéaux, ses titres de gloire et sa fierté. Et il a beau scruter le monde, il ne parvient pas à le comprendre, à le décoder. Cette homme, c’est René Bonaparte. Le French Ladykiller est plongé en pleine solitude. Dans sa main droite il tient une ceinture aux couleurs de la France, celle qu’il appelait "French" Tag Team Championship. Il détourne la tête un instant et éteint une goutte qui perlait au coin de son œil.
| René Bonaparte | Toi et moi avons vécu tant de belles choses ensemble... Toi qui étais prise pour une sous-ceinture, tu fus rêvée par tant d'autres lutteurs, mais c'est moi qui te tenais. C'est autour de ma taille que tu te sentais bien. C'est moi qui t'ai donné tes plus belles marques de noblesse, grâce à moi tu es devenue belle, grande et fière. En échange tu as fait de moi le plus grand champion de la Nation du Catch. Mais les plus belles choses ont une fin.
| René Bonaparte | Je te prie de m'excuser si ce soir je dois lever la main sur celui avec qui j'ai partagé la gloire. Mais je ne peux faire autrement. Tu me connais et je sais que tu me comprends mieux que quiconque. Tu as fait de moi ce que je suis aujourd'hui, et pour cela je te dois tout. Tu es mon passé, mon présent, et celle qui fera de moi une légende dans le futur, sans toi je ne suis rien, sans moi tu n'es rien.
Il lève à présent les yeux vers le ciel pendant quelques secondes avant de replonger son regard dans le vide.
| René Bonaparte | Je suis là à contempler mes titres et autres divers fait de gloire que j'ai reçu au cours de ma carrière longue et fournie. Et pourtant je n'arrive pas à en retirer l'honneur que j'en aurais mérité. Je me remémore mon passé et je ne vois ni l'or ni l'argent mais bien les échec qui y sont liés...
| René Bonaparte | C'est vrai, je ne vois pas mon avenir sous un bon angle. Cette incapacité chronique à devoir bien gérer seul les grands rendez-vous... Oui, je ne revois que mes échecs, moi qui pourtant reste invaincu ici. Pourquoi je repense à ce malheureux coup de chaise sur Robert Conway alors que je devrais me glorifier d’être celui qui a détenu le titre par équipe pendant le plus longtemps ? Je ne le sais pas, et que dire de ces deux awards... Celui de la meilleure équipe et celui du meilleur second couteau... Et si Robert avait raison... Si en fin de compte je n’étais qu’un seconde couteau, rien de plus. Quelqu’un de toujours bien placé mais qui au final est là uniquement pour mettre les autres dans la lumière... Certes j'ai participé à des matches mémorables, ce match devenu légendaire où j'ai moi-même du me trouver quatre partenaire pour affronter la Terror Society en main-event... Ce match aux côtés de Mr. Kennedy et son frère... Cet affrontement entre Européens et Américains... Et malgré cela il me faut toujours chercher une explication, quelque chose qui cassera le mythe.
| René Bonaparte | Moi, homme auquel tout le monde aimerait ressembler, je trouve encore le moyen de me plaindre. Mais je dois cesser de me lamenter sur mon sort et chercher un moyen de rompre ce sortilège de triste dépression... J’ai réussi mon objectif que je m’étais fixé en arrivant. Peut-être que je faisais erreur, peut-être que ce n’était pas ce pays que je devais purifier mais simplement mon esprit. Désormais on ne me voit plus comme un vulgaire envahisseur mais bien comme un lutteur à part entière... Je ne peux rien faire de plus... A part remporter une ultime victoire.
Le French Phenom retire sa chemise et se lève. Il regarde une dernière fois sa loge puis part pour sa bataille suprême.
Linky Pitt
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Sujet: Re: Never Backdown I Dim 6 Sep - 21:03
«Ladies and gentlemans. THIS IS THE CO-MAIN EVENT OF THE EVENING ! NoW, 30-Minutes Ironman Rules in the NoW heavyweight division ! Introducing first, only professional record of 10 wins, 2 losses and 3 draws. He stands 6-feet-1-inches tall, weighed at 234 pounds. Fighting out of Paris, France. Ladies and gentlemans, he is the former NoW French Tag Team Champion... ROBERT... THE "IRON-MAN"... CONWAY !»
JUST LOOK AT ME...
C’est parti, la musique de Robert Conway démarre en trombe dans ce Los Angeles Memorial Coliseum plein à craquer sous celle belle nuit d’été. Des milliers de confettis tombent sur les spectateurs qui voient enfin arriver la silhouette tout en muscle du Iron-Man. La foule commence à huer mais cela n’empêche pas l’ancien champion par équipe de s’arrêter sous la rampe, micro en main.
| Robert Conway | SHUT UP !
La foule répond par des insultes, Robert fait les gros yeux, l’atmosphère est électrique.
| Robert Conway | M’avez-vous entendu ? SHUT THE FUCK UP ! J’ai quelques mots à dire concernant René Bonaparte, j’ai besoin de silence et de respect. En clair, je vous demande de la fermer.
Los Angeles est sur le point d’exploser, l’attitude hautaine et méprisante du Iron Man déplait aux fans. Ils hurlent leur haine à s’en faire exploser les poumons.
| Robert Conway | Je vous laisse une dernière chance...
La foule ne saisit pas la balle au bond et continue à huer. Rob demande à un officiel de faire quelque chose pour que la foule se calme, celui-ci est interloqué, il fait signe qu’il ne peut pas faire grand chose. Vous vous imaginez ce que ce petit manège a comme effet sur le public qui là est en feu, ils lancent des gobelets et tout ce qu’ils trouvent sur le Français.
| Robert Conway | Très bien, dans ce cas allez tous vous faire foutre ! Vous avez plus besoin de moi que je n’ai besoin de vous, mettez-vous cela dans vos petites têtes.
Conway continue son chemin en direction du ring le long de la rampe.
| Robert Conway | Ce soir, pour la dernière fois sur les rings de la Nation du Catch, vous aurez l’immense l’honneur et l’incroyable privilège de me voir sur un ring, alors profitez. Profitez, sortez vos téléphones portables et enregistrez ça, car après je me tire. Après, je rentre dans ma superbe villa me détendre loin de vos mauvaises vibrations. Vous ne voulez pas m’écouter une dernière fois ? D’accord, alors ce soir vous ne m’entendrez pas écraser René Bonaparte par ma supériorité vocale.
| Robert Conway | Vous ne m’entendrez pas ridiculiser René Bonaparte, le dénigrer comme jamais. Vous ne m’entendrez pas l’humilier sur son visage ingrat, sur son QI d’albatros. Vous n’entendrez pas tout cela, non ! Cette fois, tout va se passer en live sur le ring pendant trente minutes, comme vous le voulez finalement. Pas de mots, aucun mot, juste des coups, seulement des coups puisque c’est ce que vous voulez non ? Une flopée de claques dans la gueule, plusieurs neckbreaker, deux ou trois DDT, un Ego Trip. Une fois cela fait, il ne restera qu’une chose... non, deux choses en fait... Robert Conway vainqueur, les bras levés au ciel... et le silence, le silence de René Bonaparte, plongé dans un coma profond et surtout... votre silence, losers du public.
Il commence maintenant à grimper sur le ring par les marches et s’arrête sur la bordure.
| Robert Conway | Mais avant, vous allez tous baiser le cul royal de Robert Conway... Que la fête commence.
Il rentre maintenant sur le ring et sautille sur place, l’air mauvais.
Linky Pitt
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Sujet: Re: Never Backdown I Dim 6 Sep - 21:04
Celian Varini » C’est émouvant de voir Robert Conway présent ici, un an après. Car même s’il affirme haïr la NoW, c’est un pionnier de la fédération, il mériterait une acclamation !
Magloire » Pionnier c’est pas pour dire vieux con avec un peu plus de tact ?
Celian Varini » Je vais te le faire sentir mon tact !
La Marseillaise, jouée par un orchestre et une chorale sous le Natiotron, retentit dans toute la salle. Les fans sont debout, les quelques Français présents dans la salle chantent à pleins poumons, main posée sur le cœur. Dans le carré VIP, un homme qui a fait le déplacement depuis l’Elysée paraît tout fier avec ses belles lunettes Ray-Ban et sa montre Rolex qui rendraient jaloux Linky.
L’hymne français s’arrête, applaudie par les quelques 93.000 fans du Los Angeles Memorial Coliseum. Soudain, une autre musique démarre en trombe...
«Now introducing, only professional record of 17 wins, 0 loses and 2 draws. He stands 6-feet-3-inches tall, weighed at 250 pounds. From Paris, France. Ladies and gentlemen, he is the former NoW French Tag Team Champion... RENÉ... THE "FRENCH LADYKILLER"... BONAPARTE !»
La salle est plongée dans le noir. Des flashs crépitent de partout alors qu’un faisceau lumineux entoure l’entrée menant au ring, juste sous l’écran géant. René fait son apparition en sortant de sous terre à cet endroit précis alors que la musique s’emballe. Pour cette grande occasion, le French Ladykiller porte une équipement complet aux couleurs de son pays. Il reste plantée en haut de la rampe un moment, on ressent l’émotion dans ses yeux et à travers toute la salle, puis parcours la rampe qui, grâce à un jeux de lumière est désormais parsemée d’étoiles.
Le French Phenom s’élance par-dessus la troisième corde pour atterrir sur le ring et fixe Conway dans les yeux avant de retirer sa cape qu’il confie précieusement à l’arbitre.
Celian Varini » Voilà les deux hommes sur le ring à présent. Il y a de l’électricité dans l’air !
Magloire » Et des oiseaux aussi.
RÉSUMÉ DU COMBAT » Ces deux gladiateurs des temps modernes qui, pendant des mois, ont fait équipe, ces deux hommes invaincus ensemble, vont devoir, pendant trente minutes, vivre les dernières minutes de leur carrière à la NoW, et sans doute les plus dures de leurs vies de lutteurs. L’arbitre les rejoint en leur expliquant les règles particulières de ce combat. Mais Conway le repousse délicatement et approche en direction de René en affichant un large sourire narquois. Ce dernier garde la tête baissée. L’arbitre fait sonner le gong, Robert ne perd pas une seconde et envoie une bonne droite dans la tempe de Bonaparte. L’Aristocrat of Badness se relève lentement, le regard toujours vide, Conway revient à la charge et lui fout un coup de pied dans l’abdomen avant de le renvoyer directement au sol. Le Ladykiller se tord de douleur au sol tandis que Conway fronce les sourcils et lui envoie de violents coups de pied dans les cotes ! Bonaparte hurle de douleur, son ancien (mais très ancien alors) partenaire se couche à présent sur lui pour un premier tombé, déjà ! 1... René se défait. Conway relève ce dernier par les cheveux sous des huées monumentales de la foule puis porte un énorme coup de genou dans le bas-ventre du phénomène Français, et un second, un troisième ! René pose un genou au sol, Conway en profite pour prendre son élan dans les cordes dans son dos et revient lui porter un gros dropkick derrière le crâne. Rob tente un nouveau tombé, mais ça ne dépasse pas le compte de deux. Le Iron Man se relève, il regard la foule autour de lui et fait signe que René n’a plus aucune chance de s’en sortir avant de le marteler de coups de bottines particulièrement cinglants dans le dos et la nuque. «
Celian Varini » Mentalement, René ne semble toujours pas prêt à attaquer son ancien partenaire. Il encaisse sans oser répondre.
Magloire » Il serait pas un peu sadomaso plutôt ?
» Bonaparte accuse le coup et tente d’échapper à la hargne de Conway. Mais ce dernier ne compte pas en rester là et poursuit son assaut. Il se baisse maintenant et assène des coups de poing et d’avant-bras dans la face de René. Le Iron Man se déchaîne ! Il y va même d’un tombé : 1... 2... René lève un bras ! Malgré sa large domination, Conway ne parvient pas à prendre l’avantage et enrage. Bonaparte atteint finalement les cordes en rampant, mais le Iron Man revient à la charge. Même dans les cordes il continue de le frapper et tente de l’étrangler avant que l’arbitre n’intervienne. Conway lance un coup d’œil en direction du chrono qui affiche encore 25 minutes de combat puis relève René contre le coin afin de le laminer avec des droites. Robert attrape à présent son adversaire par le bras pour un retournement du bras, Bonaparte souffre, il grimace. Conway envoie un coup de pied contre le torse du French Ladykiller, il lâche son bras, puis lui porte un DDT venu de nulle part ! Robert Conway se relève, il comprend que dans les secondes qui viennent il peut mener au score. René se relève en titubant, il se tient la tête... Neckbreaker Slam de Conway ! La sentence tombé, Conway couvre son adversaire : 1... 2... TR... René se dégage ! La foule pousse un grand "ouf !" de soulagement. Le Iron Man n’en croit pas ses yeux, malgré sa totale domination dans ce match qui est en fin de compte sa spécialité, il ne parvient pas à tirer profit de cette situation. René Bonaparte commence difficilement à se relever, la douleur se voit sur les traits de son visage, lui qui refuse toujours de toucher à son ex-coéquipier, son "frère" comme il aimait le dire. Mais Robert Conway ne l’entend pas de la même oreille, il l’aide à se relever plus vite dans le seul but de lui coller une bonne droite contre le font qui le renvoie au sol. Tête basse, René tente à nouveau de se redresser, mais Conway s’était projeté dans les câbles et il revient déjà à toute vitesse pour une coup de genou en pleine tempe ! Robert décide maintenant de se la jouer hautaine, il lève la tête, le poing levé, puis grimpe tranquillement dans un coin pour se hisser jusqu’à la plus haute corde. Le regard avisé, il attend patiemment que le French Ladykiller se redresse... pour s’élancer dans un Diving leg lariat ! Le choc est terrible et donne littéralement l’impression que le cou de René s’est brisé en deux. Robert Conway va certainement ouvrir le score, il part pour un tombé plein de ténacité ! «
» 1... 2... et tr... Non ! Le French Ladykiller soulève une épaule et cherche à s’emparer des cordes pour gagner un peu de temps. Conway se prend la tête à deux mains et regarde le temps restant, soient 19 minutes. Bonaparte reprend ses esprits dans les cordes, mais son adversaire n’est toujours pas décidé à lui laisser la moindre seconde de répit et il place son pied contre son dos afin de l’étrangler contre la première corde. René souffre, il grimace, l’arbitre est contraint à mettre son corps en opposition pour repousser Conway qui fait mine de n’avoir rien entendu avant de porter à nouveau un grand coup de pied dans le dos de René. Ce dernier semble d’ailleurs à présent se tenir son épaule qui l’a tant faire souffrir il y a de cela quelques semaines suite à une attaque de son adversaire de ce soir. Adversaire qui le relève et le projette dans les cordes. Au retour, c’est une formidable... double corde à linge qui assomme les deux concurrents ! L’arbitre commence à les compter au sol, et c’est seulement au bout du compte de sept que Conway se relève en se mettant à genoux tandis que Bonaparte nous fait un joli saut carpé pour se redresser. Ils se mettent en position de combat et se regardent droit dans les yeux ! René Bonaparte semble enfin prêt à passer à l’attaque, oh oui, oui... oui !! Les coups de poings pleuvent sur la face de Conway, la foule est en délire. Bonaparte envoie un coup de pied dans le ventre de Conway, ce dernier est plié en deux, le phénomène Français en profite, il prend quelques pas d’élan... Running Neckbreaker ! Le public explose, le Iron Man se relève en vacillant, René le remet en place avec un atémi qui résonne dans toute l’arène puis le projette dans les cordes. Conway tente de revenir avec une corde à linge, mais Bonaparte se baisse et esquive, il continue sa course à l’opposé puis revient rapidement... Spinebuster de René Bonaparte ! Le favoris de la foule chauffe les fans avec un petit pas de danse à la Ric Flair. Il reste exactement 13 minutes de combat. Robert Conway rampe et se relève près des cordes, il se retourne... corde à linge de René Bonaparte qui le fait passer... «
Philippe et Christophe » Par-dessus la troisième corde !
Celian Varini » Ah, ils sont là ces deux cons ?
Magloire » En tout cas ils nous ont pas piqué nos places... pour le moment.
» René fait signe à son adversaire de remonter sur le ring. Mais celui-ci semble prendre la foule à parti, il fait les gros yeux puis leur ordonne de se taire. Il se permet même de piquer le gobelet en plastique d’un fan et de s’abreuver tranquillement avant de jeter le gobelet vide par-dessus son épaule. Conway est tout près des commentateurs Espagnols et il en profite pour leur arracher une chaise, l’arbitre menace de le pénaliser, mais Robert la déplie simplement pour s’asseoir. Il échange quelques mots avec Juanes (ndlr : un des commentateurs Espagnols) puis revient dans le ring en ayant bien pris soin de demander à René de le laisser monter sans l’attaquer après que l’arbitre ait compté huit. Le Iron Man est de nouveau sur le ring, mais René le rejoint et le cueille avec une belle droite directement à la mâchoire suivie d’une manchette à l’européenne. Conway accuse le coup mais réplique avec un aveuglement furtif. Cependant les choses ont changé, et René est bien décidé à passer à l’offensive puisqu’il lui balance une bonne droite ! Conway répond lui aussi avec une droite ! A nouveau, droite de Bonaparte, droite de Conway, Bonaparte, Conway, ça part dans tous les sens ! Les deux hommes se livrent finalement une véritable bagarre de rue en s’échangeant droites et gauches, bien loin des images de gentilshommes qu’il traînaient jusque là ! Robert semble prendre l’ascendant et finit par envoyer valser René dans les cordes. Alors qu’il s’apprête à le surpasser, René déboule à vitesse grand V... Speaaaaar ! Conway est recroquevillé en deux, tombé : 1... 2... TR... Non, Conway ne cède pas ! A bout de force, les deux hommes restent au sol, il ne reste plus que 5 minutes. René se relève alors que l’arbitre compte pour la deuxième fois les deux lutteurs au sol. L’épaule douloureuse, il continue de serrer les dents. Le French Ladykiller se penche désormais sur son adversaire... Figure-4 leglock ! La prise en quatre ! Woooooo ! La foule s’en donne à cœur joie, René également. La douleur se lit sur le visage de Conway qui a déjà sacrément dégusté dans ce combat. Mais il refuse d’abandonner, du moins pour le moment. René grimace, il met toute sa force dans la prise qu’il exécute. Robert hurle, il essaie de balancer des droites au visage de René mais ce dernier parvient toujours à mettre la pression. On joue la montre, comme on dirait en football, il reste très exactement deux minutes ! Deux minutes, putain ! Les deux hommes passent leurs deux dernières minutes sur les rings de la NoW ! «
Celian Varini » Quel match !
Magloire » Quelle intensité !
George Clooney » René Bonaparte, Robert Conway, what else ?
» Conway touche enfin cible, et pas n’importe où puisqu’il s’attaque à l’épaule souffrante de René. Ce dernier est obligé de lâcher la prise, Conway se relève, il s’élance dans les cordes et revient avec une bonne descente de la cuisse, c’est un nouveau tombé : 1... 2... Non, dégagement de René qui essaie de sauver la situation avec un petit paquet : 1... 2... et tr... Non ! Conway se dégage, les deux hommes se relèvent, ils foncent l’un vers l’autre... et se télescopent ! L’arbitre les compte au sol... une, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, di... noooon ! Les deux hommes vont puiser dans leur énergie, ils veulent terminer sur une victoire, ils se relèvent ! Conway part à l’attaque, il envoie des coups de coude dans la face de Bonaparte puis y va d’une Suplex. Plus que trente secondes ! Trente secondes ! Robert se relève, il se dresse au-dessus de René Bonaparte et... pas de menuet ! Il imite la danse de son ancien partenaire avec une arrogance démesurée avant d’envoyer son poing... contre le sol, René n’est plus là ! Conway vacille, René est debout, il court, il court... oh ! Bonaparte Execution ! Conway ne répondra plus, c’est finit, over, hasta la vista ! Il reste dix secondes, le French Ladykiller rampe jusqu’à Robert, il lève sa main, pose son bras contre son torse... 1... 2... TRRR... «
Biiiiiiiiiiip !
Dernière édition par Bonaparte • Linky™ le Lun 7 Sep - 19:51, édité 1 fois
Linky Pitt
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Sujet: Re: Never Backdown I Dim 6 Sep - 21:05
Magloire » Oh... mon... gode...
Tu l’as dit Magloire, ça c’est joué à un quart de seconde et pour le coup ce n’est pas une expression. René Bonaparte n’en croit pas ses yeux, il reste assis au centre du ring pendant plusieurs longues secondes, le regard vide. Puis il se relève sans lancer le moindre regard en direction de Robert Conway et se dirige tête basse en direction du Natiotron tandis que la foule le supplie de rester.
Oh mais attendez ! Sur le ring, Robert Conway est debout, même s’il tient tout juste. Il fait signe à René de revenir, le combat n’est pas finit, il fallait un vainqueur, il y aura un vainqueur. Les deux hommes ont carrément les larmes aux yeux. René fait demi-tour, il revient sur le ring, on va jouer les prolongations !
Magloire » Pourquoi, pourquoi il accepte ? Quel crétin, le match est finit !
Celian Varini » C’est pas une question de savoir si le match est finit ou non je crois. Ça doit être ça Robert Conway, ça doit être ça La Résistance. Continuer le combat. Ce putain de monde n’est pas fait de teletubbies et de bisounours et d’arcs-en-ciel. C’est un enfer, rempli de méchanceté et d’endroits obscurs. Il va te mettre dessus jusqu’à ce que ce soit permanent si tu le laisses. Moi, toi, personne ne cognera aussi fort que la vie. Mais ce n’est pas le fait que le monde frappe fort qui compte, c’est combien tu peux prendre et te relever, avancer. Combien tu peux prendre et rendre. C’est comme cela que ça se passe, et La Résistance, plus que personne, le sait.
» Les deux gladiateurs se regardent dans le blanc des yeux, l’émotion est palpable... coup de pied de Robert Conway ! Il attrape Bonaparte sous son bras et c’est parti pour son Ego Trip... René retombe sur ses pieds ! Lui qui connaissait mieux que quiconque son ancien allié le prouve, les deux tiennent à peine sur pied, Conway se retourne, à bout de force. Les yeux remplis de larme, René Bonaparte se prépare, c’est la sentence finale... BONAPARTE EXECUTION ! BONAPARTE EXECUTION ! Les deux hommes restent au sol, côte à côte... René a un bras posé sur le corps du Iron Man ! 1... 2... 3 !!! «
René Bonaparte se tient le visage à deux mains, il se met à genoux en pleurant devant le corps inerte de Robert Conway. Il semble même s’excuser auprès de lui, comme pour dire qu’il ne voulait pas en arriver là.
Celian Varini » Quel match ! Quel PPV ! Et quel final pour René Bonaparte qui demeurera invaincu à la Nation of Wrestling !
Magloire » Ça c’est vraiment joué à un rien... je suis déçu pour Robert, il ne méritait pas de perdre.
Celian Varini » Je crois qu’aucun des deux ne méritai de merde après une telle performance mais il faut avouer qu’une telle victoire a plus d’allure qu’un match nul.
Le French Ladykiller se relève en titubant, les yeux baissés, en pleurs, et se dirige vers les cordes. Soudain, une main se pose sur son épaule, il se retourne... c’est celle de Robert Conway. Ce dernier tient à peine debout, il tend sa main en direction de son ami de toujours. René accepte, il la serre... Ego Trip ? Non, juste une simple poignée qui laisse finalement place à une accolade des plus bouleversantes. Les deux hommes descendent du ring et se dirigent vers la sortie sous les vivats de la foule. Sous le Natiotron se dresse la silhouette de Sylvain Grenier, lui qui représente le futur de cette fédération, à qui ils passeront désormais le flambeaux.
Les deux hommes se retourne une dernière fois vers le public qui les acclame. Finalement ils avaient raison, les fans les ont détesté, les fans les ont haïs, mais au final, les fans les ont respecté.
Dernière édition par L[ii]NKY <3. le Ven 22 Jan - 21:37, édité 1 fois
Linky Pitt
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Sujet: Re: Never Backdown I Dim 6 Sep - 21:07
Nous sommes à quelques minutes de notre main event. Ken Kennedy, le champion, et Randy Orton, le challenger, vont enfin pouvoir se faire face dans un ring de la nation de la lutte. Les deux hommes se pourrissent mutuellement la vie depuis de longues semaines maintenant. L’atmosphère au sein de l’arène vient de changer du tout au tout. Terminées les festivités, place au combat royal que tout le monde attend. Ken Kennedy se dirige vers le ring…
Il a attendu ce moment depuis plus de deux mois. Ils passent devant les techniciens, les autres lutteurs et j’en passe. Tout le monde applaudit le Hall of Famer de la nation de la lutte. Ken Kennedy fonce tout droit, tête haute. Il arrive à hauteur de Primo Colon maintenant, les deux hommes se font une accolade. Ken Kennedy continue sa route.
La caméra tourne vers la gauche et laisse apparaître le champion du peuple, le Rock. On peut entendre la foule exploser de joie depuis les coulisses.
| The Rock | Wait a minute champ’ because...
| The Rock | FINALLY, THE ROCK HAS COME BACK... FOR... MISTER KENNEDY...
The Rock aide le caméraman à se placer, ce qui fait sourire Mister Kennedy.
| The Rock | KENNEDY !
The Rock aide une nouvelle fois le caméraman à se placer, ce qui fait une nouvelle fois sourire Mister Kennedy.
| The Rock | Listen Kenneth. The Rock tient à te dire à quel point il peut être fier de toi, à quel point il peut être fier de ton parcours et à quel point il peut avoir une estime inqualifiable pour le nouveau… People’s Champ’ ! The Rock a attentivement suivi la cérémonie du Hall of Fame hier et le Rock tient à modifier deux trois petites choses. Le Rock tient à arranger les récents propos de son vieil ami ennemi de toujours, en la personne de Stone Cold Steve Austin. The Rock ne pense pas que Mister Kennedy est le nouveau Stone Cold Steve Austin, loin de là !
Les fans grondent le Rock pour ce qu’il vient de dire.
| The Rock | No ! The Rock estime que Mister Kennedy est un savant mélange de Stone Cold Steve Austin et de lui-même… Oui, The Rock ! The Rock n’aurait jamais pu imaginer qu’un autre lutteur que lui puisse autant faire soulever les foules, et pourtant, le Rock se doit d’admettre à Mister Kennedy qu’il s’était trompé ! The Rock est fier de voir son peuple avoir trouvé une nouvelle superstar vers laquelle se tourner. The Rock apprécie fortement ça. The Rock a, ce soir, livré son dernier combat. The Rock a, ce soir, remporté sa dernière bataille… The Rock a, ce soir, le devoir de passer le flambeau. Et le Rock a décidé de passé le flambeau à Mister…
Le Rock entend le public crier « Kennedy », mais cela ne semble pas suffisant pour lui.
| The Rock | Le Rock n’aime pas ça, suivez le Rock mes amis !
Le Rock se dirige vers une entrée secondaire. Il pousses les portes et nous pouvons y découvrir la foule de ce soir, présente dans le Coliseum de Los Angeles.
| The Rock | The Rock a dit qu’il avait, ce soir, le devoir de passer le flambeau. Et que le Rock a décidé de passé le flambeau à Mister…
KENNEDYYYYYYYYYYY !
| The Rock | The Rock peut maintenant quitter ce monde et retourner pas bien loin d’ici, chez lui, dans sa deuxième maison, à Hollywood, en toute sérénité. Le Rock est heureux. Le Rock est ravi. Le Rock est de tout coeur derrière Kenneth ce soir. Le Rock admet qu’il n’a plus rien à faire au sein de la nation de la lutte. Le Rock sait que c’est à Mister Kennedy de vous faire rêver, de vous emmener dans de nouvelles dimensions. Le Rock sera toujours là. Le Rock respecte Mister Kennedy. Le Rock souhaite bon courage pour le match de Kenneth contre Randy « Bitch » Orton. Le Rock n’a rien à craindre de Mister Kennedy sur la scène cinématographique étant donné le bide qu’a pu faire Behind Enemy Lines.OUPS ! Le Rock retourne à Hollywood puisqu’il s’agissait de sa dernière. Le Rock vous salue et vous donne rendez-vous ailleurs. Et pour terminer, le Rock a un dernier message, pour un certain Randy Orton… Randy… Le Rock sait que tu vas prendre une rouste ce soir, et le Rock tenait à te le dire parce que le Rock n’a pas l’impression que tu te rendes compte ce que Mister Kennedy a préparé pour toi…Huh ?
| The Rock | IF YOU SMELLLLLLLLLL WHAT...
| Ken Kennedy | MISTERRRRRRR...
| The Rock | KENNEDYYYYYY...
| Ken Kennedy | KENNEDYYYYYY !
| The Rock | IS COOKIN’ ?!
Le Rock jette son micro sur le caméraman et s’en va rapidement. Mister Kennedy n’a vraisemblablement pas tout compris à ce qu’il venait de se passer, mais c’est maintenant avec le sourire qu’il se dirige vers le ring pour son combat contre Randy Orton.
KEN KENNEDY AGAINST RANDY ORTON, FOR THE NoW UNIVERSAL CHAMPIONSHIP... UP NEXT !
Dernière édition par Bonaparte • Linky™ le Dim 6 Sep - 22:31, édité 1 fois
Linky Pitt
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Sujet: Re: Never Backdown I Dim 6 Sep - 21:07
Magloire » Est-ce que tu peux me dire Celian comment je peux faire ? J’adore les deux hommes qui vont combattre l’un contre l’autre dans quelques minutes. Je n’arrive pas à choisir quel sera mon préféré.
Celian Varini » La question ne se pose même pas en ce qui me concerne. Je serai derrière Mr. Kennedy. Il faut qu’il y est un peu de justice dans ce bas monde.
La musique de Ken Kennedy se met en route. Le champion Universal débarque rapidement sur le ring de la nation de la lutte. Il fait son entrée sous une énorme ovation. Les fans veulent l’approcher, le toucher, les vigils ont du mal à contenir tout ce beau monde. Il monte dans le ring et prend son célébrissime microphone.
| Ken Kennedy | Mesdames et messieurs. Ce soir, je me présente à vous non pas seulement en tant que champion Universal, mais aussi en tant que Hall of Famer de la Nation of Wrestling. Ce qui est pour moi un honneur. J’ai longuement attendu cet instant, j’ai longuement attendu le moment où je pourrai, enfin, mettre la main sur Randy Orton. Ce moment est arrivé. La seule chose que je peux vous promettre ce soir, c’est qu’il n’y aura qu’un seul homme qui restera debout à la fin de cet affrontement. Cet homme est devenu quelqu’un de respecté au sein de ce business. Cet homme est devenu quelqu’un d’emblématique pour toute cette nation… Cet homme n’est nul autre que… MISTERRRRR…
La musique de Randy Orton se met en route. Le challenger ne laisse pas une seule seconde de répit à son futur adversaire. La foule gronde, elle voulait entendre leur champion crier haut et fort son nom. Ca ne sera donc pas pour cette fois. Randy Orton arrive sous le nationtron.
Magloire » Qu’est ce qu’il attend pour se diriger vers le ring ?
Celian Varini » Je ne sais pas vraiment Magloire. Il teste la température. Il fait douter son adversaire. C’est du Randy Orton tout craché, il essaie de le déstabiliser.
Randy Orton sourit et regarde derrière lui. Trish Stratus arrive sous les huées. Elle rejoint Randy Orton sous le nationtron. Les nouveaux amoureux avancent vers le ring maintenant. Randy Orton et Trish Stratus s’arrête devant un gamin, qui exhibe sa pancarte comme il peut…
Randy Orton et Trish Stratus regardent l’enfant. Randy Orton s’approche du gamin qui commence à se pisser dessus. Le père du garçon s’interpose, mais Randy Orton gifle le père de l’enfant avec une force inqualifiable. La sécurité intervient rapidement pour séparer tout le monde, essentiellement pour empêcher le père de rétorquer.
Magloire » Je crois finalement que je vais être derrière Ken Kennedy ce soir. Je n’aime pas ce genre de comportement. Et puis… Randy Orton me trompe avec Trish Stratus maintenant. Je dois l’oublier.
Celian Varini » Sage décision Magloire.
Randy Orton et Trish Stratus s’embrassent longuement aux abords du ring. Les deux tourtereaux veulent blesser Ken Kennedy dans son amour propre. Randy Orton laisse finalement Trish Stratus en ringside avant de monter dans le ring. Mais Ken Kennedy saute sur son adversaire et lui assigne un grand nombre de droites. Le champion s’en donne à cœur joie.
RÉSUMÉ DU COMBAT » Ken Kennedy continue à donner des droites sur son adversaires alors que l’arbitre de cette rencontre demande à ce que l’on fasse sonner la cloche. Ken Kennedy se relève et enlève son t-shirt. Le champion le balance dans la tronche de Trish Stratus avant de continuer à s’en prendre à Randy Orton. Il commence son travail avec un Side slam backbreaker. Mister Kennedy continue de maintenant avec une prise en quatre, en hommage à Ric Flair. Ce dernier avait été battu par Randy Orton il y a quelques mois. Randy Orton refuse d’abandonner. Trish Stratus monte sur l’apron du ring et Ken Kennedy se résout à lâcher prise. Il va tenir tête à la belle blonde avant de se retourner pour continuer son combat. Mais Randy Orton claque un RKO. Il se couche sur Mister Kennedy mais le champion mondial se dégage au compte de deux. Randy Orton relève son adversaire. Il le place pour le Inverted headlock backbreaker et lui porte sauvagement. Le dos de Ken Kennedy est endolori. Mais le champion ne veut pas baisser les bras. Il se relève. Orton continue maintenant avec un Full nelson slam. Randy Orotn se couche sur son adversaire mais le champion se dégage. Randy Orton tire Ken Kennedy vers le coin, il descend du ring, prend les jambes de Ken Kennedy et le tire vers lui. Les parties intimes directement dans le montant en métal. Ken Kennedy se sort de cette fâcheuse situation. Randy Orton remonte dans le ring, mais Ken Kennedy, avec bravoure, porte un Feint roundhouse kick. Les deux hommes sont au sol. Ils se relèvent en même temps. Les deux hommes s’échangent maintenant des droites. Le public hue lorsque Randy Orton en colle une à son adversaire, et ovationne lorsque c’est le contraire. Ken Kennedy prend le dessus, il projette Randy Orton dans les cordes. Coup de la corde à linge, non. Randy Orton prend de l’élan et veut porter une manchette à l’européenne à la volée sur son adversaire, mais Ken Kennedy l’esquive et laisse Randy Orton s’écrouler sur le sol. Randy Orton se relève, Kennedy lui porte un Forward Russian legsweep. Randy Orton se relève quand même. Kennedy dit que c’est la fin. Il lui porte The Mic Check ! La foule explose de joie. Kennedy se couche sur Randy Orton, un, deux... L’arbitre a disparu. Trish Stratus embête l’arbitre. L’arbitre lui montre son insigne d’arbitre. Ken Kennedy n’en revient pas. Il attrape Trish par les cheveux et la met dans le coin. Le public entame un chant pour signifier son envie de voir Trish dans le Mic Check. Kennedy place Trish pour le Mic Check, mais Randy Orton arrive par derrière. Un roll-up en tenant le slip de Ken Kennedy. L’arbitre ne peut pas le voir et compte, un, deux, et trois bêtement… C’est terminé ! «
Enorme froid dans l’arène après ce qu’il vient de se passer. Randy Orton quitte rapidement le ring avec Trish Stratus. Ken Kennedy, lui, est en train de se rendre compte qu’il a été volé comme jamais personne n’a été volé dans l’histoire de ce business.
Magloire » Dis-moi Celian, si j’ai bien compris… Le match est terminé, c’est la fin de Never Backdown, on se fait la bise et on se dit au revoir, c’est exact ?
Celian Varini » C’est inadmissible. Trish Stratus a triché. Randy Orton a triché. On ne peut pas voir ce match de championnat se terminer de cette manière. Je suis écoeuré. Et dire que Randy Orton fait le fier.
En effet. Randy Orton est sous le nationtron, la ceinture Universal dans les mains. Il célèbre avec Trish Stratus sa victoire. Lui-même n’en revient pas. Les fans commencent à balancer des bouteilles de bières, du papier toilette, des chaussures, des culottes et des t-shirts de l’UZW. C’est l’anarchie ici !
BANG BANG !
Linky Pitt
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Sujet: Re: Never Backdown I Dim 6 Sep - 21:09
RÉSUMÉ DU COMBAT » La cage est descendue. Orton regarde ensuite la structure autour de lui. Les deux hommes se rencontrent au milieu du ring. Nez à nez, ils se lancent des insultent. Kennedy lance les premiers coups, suivi des coups de Orton. C’est un échange agressif où tout semble permis. Kennedy prend l’avantage et il repousse Orton dans le coin. La foule applaudie chacun des gestes de Kennedy et elle hue les gestes de Randy Orton. Kennedy attrape la tête d’Orton et il le lance dans la cage. Personne ne pourra arrêter cet homme aujourd’hui. Orton est étourdi dans le ring, Kennedy lui balance un enziguri en pleine tête, ce qui fait tomber l’aspirant au tapis. Kennedy tente un tombé, 1…..2…..299999, mais Orton résiste à l’attaque. Trish est impuissante en dehors de la cage au carnage qui se fait sur le ring. Kennedy tente ensuite de relever le Legend Killer, mais low-blow ! Kennedy se tort de douleur au sol, alors que Randy Orton tente de reprendre ses esprits. Randy relève Kennedy et il le lance à son tour dans la cage, on a senti la puissance jusqu’à Boston. Orton prend ensuite la tête de Kennedy et il lui écrase le visage dans la cage en le frottant contre celle-ci, on entend les cris de douleur de Kennedy. Trish regarde le tout en s’approchant de la cage et en lançant des insultes à Mr. Kennedy. Orton continue son attaque. Il lâche finalement prise. Kennedy reste accroupi, visage contre la cage. Orton se lance dans les câbles et tente un splash pour écraser Kennedy contre la structure, mais celui-ci se pousse et Orton se frappe violemment contre la structure. Les deux hommes sont rapidement au sol. Kennedy est maintenant sur un genou. Il va vers le coin du ring une fois debout, il est dans la position du punt kick qu’Orton se donne un plaisir de faire à tous les combats. Kennedy attend de voir Orton à genoux, il s’élance, mais Orton se pousse du chemin. Kennedy se retourne, mais RKO…NON ! Kennedy le repousse au sol. Il se couche sur lui, 1…..2…..299999, mais encore une fois Orton résiste. Kennedy va vers le coin. Il enlève les liens qui composent le coussin et il enlève le tout. Ce n’est plus qu’une pièce de fer dans le coin. Orton tente de se relever, mais Kennedy le frappe violemment à la tête. Kennedy le relève et il tente de le lancer, mais Orton renverse le mouvement et Kennedy se frappe le dos solidement contre le coin et dans cas, contre la pièce de métal qui retient les câbles ensemble. Orton avec un sourire sadique relève Kennedy et lui tient le crâne et le frappe avec violence contre cette pièce de métal. On commence à voir du sang sur le front du champion Universal de la Nation of Wrestling. Orton recommence. Kennedy est maintenant au sol. Orton grimpe la cage, Kennedy tente de reprendre ses esprits. Orton est presqu’en haut. Kennedy reprend ses esprits. Kennedy attrape les jambes de l’aspirant et le fait tomber en powerbomb, Holy Shit !!! Holy Shit !!! Holy Shit !!! Kennedy se rend péniblement vers Orton, il met sa main sur sa poitrine, 1…..2…..299999, mais Orton résiste à nouveau ! Kennedy avec le visage recouvert de sang se relève avec difficulté. Il attend que le Legend Killer se relève. L’arbitre le regarde en voulant savoir si tout va bien avec sa coupure, mais Kennedy le repousse. Orton est debout, il se retourne et Mic Check…NON ! Orton renverse et RKO ! Orton avec un large sourire et sûr de sa victoire se couche sur son adversaire, 1…..2…..299999, mais Kennedy brise le compte ! Orton n’en revient pas tout simplement pas, il tente à nouveau, 1…..2…..299999, mais Kennedy ne veut rien savoir. Orton se demande quoi faire. Kennedy tente de se remettre sur ses james. Orton demande à l’arbitre d’ouvrir la porte de la cage, mais celui-ci met un temps fou, il a de la difficulté avec le cadenas. Orton tente de sortir, mais il trébuche, Kennedy le fait trébucher. Orton tente de sortir, mais Kennedy le retient et le ramène vers le centre du ring, mais Trish Stratus glisse une chaise dans l’ouverture de la porte. «
Celian Varini » Trish vient de mettre un chaise dans le ring Magloire !
Magloire » Ah oui et où est le repas !
» Orton est ramené au centre du ring, mais il donne un coup de pied à Kennedy qui le retenait de ses mains au sol. Orton se relève et il prend la chaise que Trish vient de lancer dans le ring. Orton là regarde et il frappe un coup au sol avec cette même chaise. Kennedy est debout, il se retourne, mais il se baisse au dernier moment. Orton tentait le coup de chaise. Orton se retourne à nouveau, il reçoit un coup de pied dans les abdominaux et DDT ! Kennedy ne perd pas de temps, malgré la douleur, il se relève rapidement. Il prend la chaise et attend à son tour de voir Orton se relever. Orton est debout, Kennedy s’élance et le Legend Killer se prend la chaise en pleine poire ! Orton tombe sur un genou. Kennedy lui fait un doigt d’honneur et il s’élance à nouveau avec un violent coup de chaise, la foule est sans parole avec ce dernier coup de la part du champion Universal. Kennedy matraque ensuite le crâne du Legend Killer, jusqu’au sang, car les premières gouttes de sang de Orton se font voir dans ce match. Les deux hommes laissent beaucoup d’énergie dans ce combat. Kennedy met ensuite se couche sur Orton, 1…..2…..299999, mais encore une fois l’aspirant ne veut pas laisser tomber. Kennedy en a assez. Il prend les jambes de Randy Orton et c’est la Figure Four Leglock. Orton est pris dans cette prise au centre du ring. Kennedy met beaucoup de pression. On entend les cris partout dans le stade de Los Angeles. L’arbitre veut voir si Orton va abandonner, mais il fait signe que non. Il refuse d’abandonner ce combat. Les deux hommes sont en sang. Orton tente de reprendre le contrôle, il change de côté, mais Kennedy met de la pression, mais Orton renverse le mouvement et c’est maintenant Kennedy qui est pris dans une soumission hors du commun. Orton met de la pression à son tour, mais Kennedy brise la soumission avec des coups d’avant bras sur les jambes de l’aspirant. Les deux hommes sont au sol, le premier à faire une erreur perdra ce combat. Orton se relève le premier, suivi de Kennedy, Kennedy tente une prise, mais Orton renverse et c’est le backbreaker modifié. Il tente un autre tombé, 1…..2…..299999, mais encore une fois Kennedy résiste. Orton se dirige vers le coin avec des encouragements de Trish Stratus. Il se met en position, Kennedy est accroupi. Orton s’élance et punt kick, mais non ! Kennedy se pousse, Orton se relève, Kennedy est debout, Mic Check ! Kennedy tombe à la renverse avec sa main sur le corps de Randy Orton, 1…..2…..3 ! Mr. Kennedy vient tout juste d’égaler ce combat. Ce match a en cage a été d’une grande violence, on ne sait pas ce qu’ils auront dans le ventre pour le prochain combat, car n’oublions pas, c’est un Three Stages of Hell. «
Celian Varini » Magloire, nous allons nous diriger vers un NoW Extreme Rules, les deux hommes dans le ring saignent. Orton moins que Kennedy, mais tout de même, nous n’avons encore rien vu de ces deux là.
Magloire » C’est ce qui m’inquiète Celian. Mr. Kennedy devra gagner ce combat pour rester champion Universal. Hou ! Je suis le combat.
Linky Pitt
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Sujet: Re: Never Backdown I Dim 6 Sep - 21:09
Magloire » Alors Celian, ça fait un partout, est-ce exact ?
Celian Varini » Oui, c’est ça. Randy Orton a remporté la première manche. Ken Kennedy vient de remporter la deuxième dans ce match en cage très brutal. Nous allons passer à la troisième et ultime manche.
La cage est en train de remonter. Les deux hommes sont au sol. Ils récupèrent. Ils saignent tous les deux. Ils sont épuisés mais ils vont devoir y retourner pour une troisième et ultime confrontation. Le NoW Extreme Rules Match est sur le point de commencer. Les deux hommes sont debouts. Randy Orton se jette sur son adversaire et l’étrangle dans le coin.
RÉSUMÉ DU COMBAT » Il n’y a malheureusement pas de règles pour ce match. Randy Orton a parfaitement le droit d’étrangler le champion. Ken Kennedy n’arrive pas à se défendre. Il est épuisé. L’arbitre de la rencontre demande à Randy Orton de combattre dans les règles de l’art, quelque soit la stipulation. Randy Orton repousse violement l’officiel en lui disant qu’il n’a pas à lui dire ce qu’il a le droit de faire ou de ne pas faire. Randy Orton retourne s’occuper de Ken Kennedy, il lui donne de nombreux coups de pieds. Il continue son assaut jusqu’au moment où Ken Kennedy s’écroule en dehors du ring. Ken Kennedy essaie de se relever. Randy Orton récupère une chaise et donne un grand coup de chaise dans le dos de son adversaire. Il place maintenant la chaise au niveau de la cheville de son adversaire. Il donne un grand coup de pied dessus. Ken Kennedy ne supporte pas une telle douleur. Il se tient la cheville gauche en criant de toutes ses forces. Randy Orton prend les deux jambes de son adversaire et lui porte la prise en quatre, dans le seul et unique but de plier la cheville de Ken Kennedy de manière définitive. Ken Kennedy crie de douleur. Il passe la main sous le ring et trouve un kendo stick. Randy Orton le regarde en faisant les gros yeux. Kennedy ne se pose pas la question. Il donne tout ce qu’il a et lui éclate le bâton sur le crâne. Ken Kennedy peut alors se sortir de la prise en quatre. Ken Kennedy se relève, en boitant. Il se dirige vers la table des annonceurs. Il enlève la protection ainsi que les écrans. Il relève Randy Orton et essaie de le placer sur la table, mais Randy Orton le projette dans les escaliers en métal. Non. Ken Kennedy met son pied, il prend la tête de Randy Orton et l’éclate sur les escaliers. Ken Kennedy prend la carcasse de Randy Orton et le place d’une manière inqualifiable autour du poteau, le reste se passe de tout commentaire. «
Trish Stratus a beau frappé Ken Kennedy dans le dos, ce dernier ne bronche pas. Il continue de plier en deux le tueur de légendes.
» La foule commence à demander des tables. Ken Kennedy lâche finalement Randy Orton. Il lance un regard noir vers Trish, qui se dépêche d’aller voir ailleurs. Ken Kennedy fouille sous le ring et, sous demande de son public, sort une table. Ken Kennedy installe la table à l’extérieur du ring. Il pose Randy Orton dessus. Ken Kennedy monte sur l’apron. Il teste la température et décide de monter sur le turnbuckle. Ken Kennedy se lance : Kenton Bomb, du haut du turnbuckle, sur Randy Orton, à travers une table. Personne n’en croit ses yeux. Trish Stratus est arrivé bien trop tard. Les deux hommes sont au sol. Il y a des morceaux de table partout. Ken Kennedy est le premier à bouger le petit doigt, il s’aide des escaliers pour se relever. Trish Stratus, pendant ce temps, aide Randy Orton à se mettre debout. Elle essaie de l’encourager tant bien que mal. Ken Kennedy prend Randy Orton et le balance dans le ring. Un fan lui tend une bouteille de bière. Ken Kennedy la prend et remonte dans le ring. Il boit une gorgée et l’éclate sur la tête de Randy Orton. Ce dernier recommence à saigner. Randy Orton ne bouge plus. Ken Kennedy regarde autour de lui et s’écroule comme une merde sur Randy Orton. L’arbitre commence à compter, un, deux, et dégagement ! Randy Orton se dégage de manière in extremis ! Ken Kennedy roule dans le ring en se tenant la tête. Trish Stratus, elle, fait le ménage. Elle prend tout ce qu’il y a sous le ring et le balance dans le ring. L’arbitre en a marre et lui ordonne de s’en aller ! La foule explose de joie. Ken Kennedy lui fait des signes de la main pour lui dire au revoir. Trish Stratus, furieuse, s’en va. Ken Kennedy n’a pas vu que Randy Orton s’était relevé. Il a récupéré le titre Universal, que va-t-il faire avec ? «
» Ken Kennedy se retourne et Randy Orton lui donne un énorme coup de ceinture en pleine figure. Ken Kennedy est au sol. Randy Orton se couche sur lui et l’arbitre commence à compter. Un, deux, trois… Non ! Ken Kennedy redresse une épaule, un quart de seconde, tel un spasme ! Le match va encore et encore durer. La foule encourage Ken Kennedy. Randy Orton prend une poubelle. Il attend que Ken Kennedy se relève, il essaie de frapper le champion avec, mais Ken Kennedy esquive le coup. Randy Orton se retourne... RKO ! Ken Kennedy vient de porter un RKO sur Randy Orton. Ken Kennedy est dans les cordes. Il relève Randy Orton qui lui porte le Mic Check sur la poubelle ! Les deux lutteurs se volent l’un, l’autre. Randy Orton va chercher une table. Il la met dans le ring. Randy Orton ne s’arrête pas là. Il est comme possédé. Il voit une échelle au loin, une échelle inutilisée plus tôt dans la soirée dans le match des patrons. Randy Orton place la table. Il place l’échelle. Il relève Ken Kennedy. On se demande encore comment les deux hommes peuvent se lever… Randy Orton porte alors son RKO sur Ken Kennedy... Non ! Ken Kennedy le repousse. Randy Orton embrasse l’échelle. Randy Orton reste sur l’échelle, comme s’il dormait debout. Ken Kennedy s’approche de lui. Randy Orton envoie son pied en arrière, le talon directement dans les parties intimes. Randy Orton met Ken Kennedy sur la table. Randy Orton monte à l’échelle. Il fait comme il peut pour en terminer. Randy Orton arrive en haut de l’échelle. Les fans entament un chant pour Kennedy. Le guerrier de Green Bay donne tout ce qu’il a ! Il se redresse. Il monte à l’échelle. Il frappe Randy Orton. Il prend Randy Orton sur ses épaules. Il se tient debout en haut de l’échelle. Randy Orton sur les épaules. Les fans retiennent leur respiration… Green Bay Plunge à travers la table du haut de l’échelle ! C’est un carnage ! C’est du suicide ! Ken Kennedy semble s’être cassé quelque chose. C’est en serrant les dents qu’il se couche sur Randy Orton… «
…
ONE
…
TWO
…
THREE
…
C’est terminé ! Ken Kennedy conserve son titre Universal en battant Randy Orton. Il l’emporte sur le score de deux à un. Mister Kennedy n’a plus de forces. Il reste allongé dans le ring alors que tout le Memorial Coliseum de Los Angeles est en train de fêter la victoire de leur préféré. Ken Kennedy a eu le dernier mot sur Randy Orton. Il y est arrivé. Il a conservé son titre. Il a mit sa carrière en jeu sur ce Green Bay Plunge du haut de l’échelle à travers cette table… Le natif de Green Bay reste immobile dans le ring. Les fans l’encouragent. Les plus émus en pleurent. Les plus fêtards trinquent à la gloire de Ken Kennedy. Les hôtesses de la soirée distribuent du champagne à tout ceux qui le souhaite. Ils sont des dizaines de milliers à chanter le nom du champion. Celui-ci finit par bouger, il se met dans les cordes. Entre épuisement et soulagement, Ken Kennedy peut être fier de lui et de son parcours.
Magloire » Je n’ai jamais vu un match aussi long. Je n’ai jamais vu un corps aussi détruit que celui de Mister Kennedy ce soir. Cet homme là a gagné mon respect, à tout jamais !
Celian Varini » Le mien aussi. Il n’a pas seulement battu Randy Orton une fois ce soir, mais deux fois. Les séquelles pour les deux hommes vont être terribles. Mais le plus important ce soir, c’est de nous avoir fait rêver, de vous avoir fait rêver, toute cette année !
Ken Kennedy parvient finalement à se relever. Les fans sont debout. Ils applaudissent le champion. Randy Orton est emmené par d’autres arbitres. Il sort par la petite porte de Never Backdown. Ken Kennedy tourne sur lui-même. L’arbitre lui présente la ceinture Universal. Ken Kennedy, pointe du doigt la ceinture et fait comprendre aux fans que cette ceinture appartient à tous les fans de la lutte. Mr. Kennedy reçoit son microphone…
| Ken Kennedy | Vous savez, cet homme dont je vous parlais tout à l’heure. C’est le genre d’homme qui est capable de remporter deux matchs dans la même soirée, un en cage, un extrême. Cet homme est un mec qui se présente devant vous en tant que votre champion Universal et qui va vous laisser en tant que champion Universal. Cet homme, vous vous en souviendrez toute votre vie, et toute votre vie, vous l’appellerez…
| Ken Kennedy | MISTERRRRRRRRRR… KENNEDYYYYYYYYYYY...
La foule se charge de crier une deuxième fois le nom de Kennedy. Ken Kennedy va maintenant à la rencontre des fans.
Magloire » Joyeux anniversaire la NoW !
Celian Varini » Quelle belle année !
Magloire » Oui, et enfin les vacances !
Celian Varini » Nous n’avons qu’une semaine. NoW or NeVer, ça va revenir, deux fois plus fort !
Magloire » Ne manquez surtout pas ça. Bonne vacances mes loulous.
Celian Varini » Vous avez aimé cette première année ? Vous n’avez encore rien vu !
Dernière édition par Bonaparte • Linky™ le Dim 6 Sep - 23:13, édité 2 fois
Linky Pitt
Nombre de messages : 5306 Age : 2015 Localisation : Entre Paris et Marseille Date d'inscription : 27/09/2008
Sujet: Re: Never Backdown I Dim 6 Sep - 21:10
RÉSULTATS RAPIDES :
- Christian bat The Chris Taylor. - Suicide (Daniels) devient Mister NoW. - Rey Mysterio (c) & Hardy & Sheamus battent Team Perfection & John Cena. - The Rock bat Samoa Joe. - Goldust bat The Undertaker. - Draw entre la Golden Crew et la Cal Crew, la Golden Crew conserve les titres. - Mick Foley et Tyler Durden n'ont pas eu le temps d'en finir. - Sean Trip bat James Storm et devient champion Free-League. - René Bonaparte bat Rob Conway dans un 30 minutes Iron Man Match. - Mr. Kennedy bat Randy Orton et conserve le titre Universal.
CRÉDITS :
- Pré-PPV » Blinky - Résumé Spécial NoW » Linky - Questionnaire » Toute la NoW ! - Résumé feud par feud » BES - Générique » Al’ et Ben - Intro » Linky - Mr. NoW Match » Jacks - Les capitaines donnent les derniers encouragements » Max - Junior Championship » Al’ - Latinos contre Black ! » Al’ - The Rock vs. Samoa Joe» Ben - Tarantino is in da house » Linky - Undertaker vs. Goldust » Ben - Jacobs et Mschif, frustrés » Debby - Dudleyville Championship » Linky - Gates à la maison blanche » Linky - Durden vs. Foley vs. Dibiase vs. Jericho » BES - Dibiase et son père » Jérémy - Chuck Norris want the Trip » Linky - James Storm vs. ST » Max - Bonaparte dans ses pensées » Linky - Conway vs Bonaparte » Linky - The Rock encourage Kennedy » BES - Main-Event » BES & Ben - Résultats rapides » Ben PS : Le gas qui tient la pancarte de Trish Stratus s'appelle Clément, alias Gumpers, je dénonce.
- Correction et arrangements » Le staff <3. - Les images » Jacks, Max, Al’ et BES.