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 NoN #40 - MAIN EVENT : les Legend Killers vs. Ken Anderson et MsChif.

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BES
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BES


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MessageSujet: NoN #40 - MAIN EVENT : les Legend Killers vs. Ken Anderson et MsChif.   NoN #40 - MAIN EVENT : les Legend Killers vs. Ken Anderson et MsChif. EmptyMar 2 Fév - 21:32

Tu m’as piqué Trish Stratus, tu me prendras pas MsChif ! NAN !
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http://www.lens.ch/
James Storm

James Storm


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MessageSujet: Re: NoN #40 - MAIN EVENT : les Legend Killers vs. Ken Anderson et MsChif.   NoN #40 - MAIN EVENT : les Legend Killers vs. Ken Anderson et MsChif. EmptyDim 7 Fév - 0:06

21h30 - Shawn A. Anderson, femme du célèbre Kenneth Anderson marche dans sa maison, elle fait les cents pas ne sachant pas ou se trouve son mari et ne sachant pas à quelle heure ce dernier sera de retour. Randy Orton se trouve caché dans les bois près d'une fenêtre menant directement sur la cuisine de la maison. Il regarde avec attention ce qui se passe et tente de ne pas faire de bruit ou de faux mouvements qui pourrait rendre Shawn A. Anderson suspicieuse.

James Storm » Je te le dis Orton, nous devons réussir notre coup pour faire en sorte de régler le compte de Kennedy, plutôt Anderson et de la sorcière des pauvres, Mschif. Tu me comprends. Je te laisse, je suis en garde en vue à l’hôtel pour ma part, je vais l’avoir, t’inquiète pas.

21h45 - Miss Anderson est maintenant dans le salon devant la télévision, elle regarde les nouvelles et lis quelques courriers qu'elle à reçut. Elle semble toujours un peu inquiète, mais pas trop, elle est tout de même confiante qu'elle reverra son mari très bientôt et que tout deux iront dormir dans leur lit ce soir. Il fait de plus en plus sombre à l'extérieure, il est maintenant impossible pour Shawn de réussir à remarquer Orton qui se cache toujours sous une des fenêtre lui donnant la possibilité d'observer à son aise cette dernière. Alors que tout semble calme, le téléphone de Randy sonne, celui-ci répond.

Randy Orton » Oui...Oui James, je me trouve présentement devant sa maison...Elle est juste là dans le salon, elle regarde la télé, elle à tellement l'air heureuse...Non, elle ne se doute de rien elle ne m'a pas vue. J'ai fais comme on s'était dit...Oui, j'attends encore un peu, comme je te dit, je frapperai vers 22h, je ne crois pas que Ken sois rentré à cette heure donc tout est comme on avait prévus, de ton coté tout est ok ?....Parfait ! Si tout va pour le mieux, on ferra un des plus gros coup de la NoW....Oui je te laisse, elle change de pièce.

21h55 - Il ne reste plus que 5 minutes avant que Randy Orton ne frappe, mais dans quel sens ? Que veut-il dire par frapper ? Fera-t-il du mal à Shawn A. Anderson. Cette dernière se trouve dans sa chambre à l'étage, tout semble normale pour elle alors qu'elle termine de se brosser les dents. Elle ne se doute pas que Randy Orton attend sagement dans le living room qu'elle se couche calmement dans le lit pour une bonne nuit de sommeil. Vous vous demandez surement comment il est arrivé à entrer dans la maison, il faut savoir que miss Anderson laisse toujours la porte de la maison ouverte lorsque Kenneth est sortit. La porte est toujours débarrée tant que ce dernier n'est pas revenue à la maison.

James Storm » Vas-y Orton, tu te sens prêt, vas-y et ne rate surtout pas ton coup, nous devons absolument réussir.

22h00 - Nous sommes à l'heure H, Tout est silencieux dans la maison. Orton est conscient du fait que Shawn A. Anderson n'est probablement pas encore endormi, c'est pourquoi il a une bouteille de chloroforme avec lui. Tout devrait se passer dans le calme et la joie, enfin, la joie pour Orton. Les lumières sont éteintes, ce dernier commence à monter les escaliers, silencieusement pour ne pas faire de bruit. Il arrive enfin là haut, il se dirige vers la porte de la chambre, porte qu'il a longuement observer tout à l'heure. Il ouvre cette dernière en prenant soins de ne pas faire de bruit, il reste caché dans le noir alors que Shawn A. Anderson semble s'être aperçu de l'ouverture de la porte, Orton se dégage de celle-ci à temps. Miss Anderson se lève lentement et va fermer la porte bêtement croyant qu'elle l'avait probablement mal fermée. C'est alors que Randy Orton l'empoigne par derrière et lui met un lingette inondée de chloroforme sur le visage, en un rien de temps, cette dernière se retrouve endormie sans même savoir qui l'a attaquée.

Randy Orton » Storm, je l’ai ! J’ai réussi à prendre cette pute en otage. Tu veux là baiser ou…

James Storm » Tu es un fou, jamais je ne m’abaisserai aussi bas que Kenneth Anderson et baiser une pute de basse cour comme ça. Jolie travail Orton, appelle-moi quand tu auras terminé ton travail.

23h00 - 1 heure de passée, Randy Orton a amené Shawn A. Anderson dans un endroit que personne ne connait et un endroit qui semble éloigné de la maison des Anderson. Il a une caméra en main, il l'installe sur un tripier et retire ensuite la cagoule qu'il avait mit sur le visage de miss Anderson, cette dernière est affolée, elle ne sait comment réagir alors que Randy Orton ouvre la caméra en riant sadiquement. La caméra pointe directement vers Shawn A. Anderson et est en vision de nuit.

Shawn A. Anderson » Je n'ai aucune idée de l'endroit ou je me trouve, je ne sais pas du tout qui m'a fait cela, la seule chose que je sais Kenneth, c'est qu'il t'en veut beaucoup. Quand tu visionnera ce vidéo, je ne sait pas ce qu'il aura fait de moi, je ne sais vraiment pas si je serai en vie, mais s'il te plait, fait de ton mieux pour venir me chercher et me sauver Kenneth. J'ai besoin de toi et j'ai peur ici !

[/i]Alors que Shawn A. Anderson est pratiquement en larmes, Orton se met à rire encore plus fort derrière la caméra, cette dernière s'énerve encore plus et commence à crier au secours, elle demande à l'aide alors qu'elle doit probablement se retrouver dans un endroit d'ou les sons ne peuvent être entendu. Jamais ses cris ne pourront être décelés. Cette dernier tente de retirer les chaînes qui la garde prisonnière de cette chaise qui se trouve ne plein milieu de la pièce.[/i]

Shawn A. Anderson » Laissez moi partir d'ici, je ne vous ai rien fait, pourquoi me gardez-vous prisonnière ici alors que je ne sais même pas qui vous êtes !!! Je vous jure que dès que je sortirai d'ici, jamais vous n'oublierai le nom Anderson !!!!

NoN #40 - MAIN EVENT : les Legend Killers vs. Ken Anderson et MsChif. 113

Randy Orton » Ferme ta gueule merde !!! Tu ne comprends rien, n'essaie pas de te déprendre de tes chaînes, cela n'arrivera pas, ne tente rien de stupide, si tu veux un conseil tu es même encore plus en sécurité dans cette pièce avec moi qu'avec ton pauvre mari Kenneth Anderson. Crois-moi, je sais de quoi je parle, demande donc l'avis à Trish Stratus sur le sujet, cette dernière sera te répondre correctement.

C'est au moment ou Orton prononce le nom de Trish que Shawn A. Anderson réalise ce qu'il lui arrive, elle commence à avoir encore plus peur, elle sait qu'elle se trouve ne présence du Legend Killer Randy Orton et cela n'est pas bonne augure. Elle pleure encore, mais cette fois c'est plus des pleurs de colère.

Shawn A. Anderson » Celui qui m'a donc pris en otage est nul autre que celui qui n'est jamais arrivé à vaincre mon cher Kenneth, nul autre que le Legend Killer Randy Orton. Celui qui fait son retour à la NoW et qui n'est même pas foutu de gagner un combat...Je ne sais pas pourquoi, j'ai moins peur tout à coup, avec de la chance, tu manqueras ton coup et n'arrivera pas à me toucher.

Orton semble énervé, il cris à Shawn A. Anderson de se fermer la gueule, il pousse la chaise plus loin et se place devant la caméra. Son visage est maintenant à découvert.

NoN #40 - MAIN EVENT : les Legend Killers vs. Ken Anderson et MsChif. 212

Randy Orton » Ken Kennedy, ou plutôt Anderson. C'est quoi de toute façon toute cette connerie pour un nom, tu n'es plus avec cette trainée de Trish donc tu as finalement décidé de changer ton nom, pour tout simplement avoir le même nom que l'autre trainée qui te sert maintenant de femme ? Vois-tu Ken, je suis content que ta femme est soulevé le point que je ne t'avais jamais vaincu à la NoW, nous avons eu sois dit en passant l'une des meilleur feud de la NoW. Une feud qui a durée très longtemps mais qui s'est toujours terminé de la même façon, avec une victoire du grand Kennedy, mais cette fois disons que ce sera différent, de 1 Kennedy est mort comme tu l'as si bien dit lors de Christmas Chaos et de deux, parce que je suis en équipe avec le Legend Killer James Storm. Ken, comme je sais que ta femme ne sera probablement plus en vie lorsque tu visionneras cette vidéo, je tiens à te faire comprendre pourquoi Shawn A. Anderson se trouve présentement en ma compagnie alors que toi tu te trouvez chez toi à te demander ou est ta femme. Vois-tu, lors de No Freedom, tu as fais quelque chose que même moi, je n'aurais jamais fais, tu t'es attaqué à une femme enceinte. Certes cette femme est celle de Bonaparte, mais reste tout de même qu'elle était enceinte. Tu ne mérite pas d'avoir une femme si près de toi alors que tu es mentalement instable et que tu peux l'attaquer quand tu le voudras, j'ai fais cela pour le bien de Shawn, pas pour toi. Tout comme je l'avais fais avec Trish il y a plusieurs mois. J'avais anticipé ton futur Ken, je savais que tu n'étais pas normale et je ne voulais pas qu'une chose aussi horrible arrive à une créature comme Trish. C'est malheureux tout ça, surtout sachant que tu a été le plus grand champion Universal de l'histoire de la NoW. C'est vraiment malheureux.

Alors qu’Orton reste devant la caméra, on entend Shawn A. qui crie derrière lui, cela le fait sourire alors qu'il reprend.

Randy Orton » C'est vraiment drôle de l'entendre crier, elle ne réalise pas tout ce qui se passe en ce moment, elle ne sait même pas ce qu'il va lui arriver, vois-tu Ken, tout cela aurait pu être anticipé, mais tu étais trop occupé par ton désire de faire face à Bonaparte et de le provoquer en t'en prenant à sa femme que malheureusement, tu n'as pas su prévoir le coup d'éclat qui se préparait derrière ton dos. Ironique venant de celui qui détient le plus long règne de champion Universal à la NoW. Tout comme Trish, je sais que cela va te jeter par terre, mais ne crois pas que cette fois, tu pourra prendre cette rage en toi pour me vaincre ainsi que vaincre Storm lors du prochain Now or Never. Crois moi, Mschif est loin d'être assez talentueuse pour nous vaincre tout les deux, nous seront très bientôt la force dominante de la NoW so live with it ! Non cette fois cette rage que tu avais par rapport à Trish ne sera pas présente en toi, puisque tu ne sera pas frustré contre moi, tu sera inquiet de savoir comment va ta femme qui se trouvera à l'hôpital durant notre combat. Consciente ou Inconsciente. Lors de ce combat avec Trish à mes cotés, tu avais cette avantage, tu voulais autant lui faire mal qu'à moi pour ce qu'elle t'avait fait, maintenant, certes tu m'en voudras, mais de ne pas savoir à quel point ta tendre femme est atteinte ne te permettra pas d'utiliser toute ta force contre moi ou Storm. Voilà toute la différence.

Randy Orton » Je viens tout juste de dire que tu t'attaquais aux femmse, que ce n'étais pas bien et que tu étais mentalement instable, eh bien sache que tout cela est vrai, mais j'ai appris une chose, pour savoir faire face à ses adversaire comme il se doit, il faut agir et penser comme eux, voilà exactement ce que j'ai fais, j'ai pensé comme toi et voilà ou cela m'a mené, enlever ta femme. Pour ce qui est du mentalement instable, je suis malheureusement aussi atteint, voir plus que toi, il faut l'admettre tout ces Commotion Kicks portés à toutes ces personnes ne sont pas les actions d'un homme parfaitement normale. Je veux dire, Primo la semaine dernière, avant cela, Tyson Kidd, Ric Flair, Mick Foley, Johnny Kennedy...J'en passe plusieurs. Parlant de ce très cher Johnny, tu as enfin réglé tes comptes avec lui, non mais il faut savoir que ya pas de cela très longtemps, tu le défendais pour ne pas qu'il se fasse massacrer par moi-même ! C'est même cette défense qui m'a mener à te voler Trish. N'est-ce pas là par contre la preuve de ta déficience mentale, en quelques temps, tu as tout simplement décidé de tourner le dos à ton propre sang, ton propre frère simplement parce que lui, a compris qui tu étais réellement, un homme sans talent, égomaniac et j'en passe encore, tu as été assez stupide pour accepter le défis qu'il t'a lancé et toi, tu t'es même permis de le détruire complètement lors de No Freedom. Vraiment décevant, jamais je n'aurais fais une telle chose à ma famille, mon propre père, une légende, jamais je ne lui aurais fait du mal, c'est mon Sang, celui qui m'a tout montré alors que toi, tu renie ta famille, tu renie ton propre sang pour servir ta propre personne et te prouver à toi même quoi ? Que tu es capable de battre Johnny Kennedy en 1 contre 1, que Anderson est meilleur que Kennedy, that's a fucking name !!! Réveille toi Kenneth, tu n'as rien de différend de quand tu te faisais appeler Kennedy, la seule différence se trouve dans ta tête alors que pour toi être un Anderson représente la supériorité contrairement a Kennedy. Crois-tu réellement regagner ton tire Universal parce que tu as changé de nom....Tu te fous alors le doigt dans l'oeil, Daniel est plus puissant que tu ne le sera jamais alors vie avec merde.

Randy semble encore plus énervé, il commence à respirer plus rapidement.

Randy Orton » Ken, j'ai dis que pour comprendre ses adversaire et arriver à leur faire face il fallait se rabaisser à leur niveau, penser et agir comme eux. C'est ce que j'ai fais en te prenant ta femme, mais ce n'est pas sans raison précise, comme tu aime t'attaquer au femme des autres, je me suis dit que peut-être cela te fera du bien de recevoir ta propre médecine en pleine gueule, vois-tu, ce n'est pas dans mes habitudes de m'attaquer au femme de cette façon, il me faut une bonne raison et une vraie bonne raison. Mais cette fois, je vais faire une exception simplement parce qu'il y a un point sur lequel je dois me faire comprendre, je ne suis plus le même qu'avant, je ne le serai plus jamais, je ne suis plus responsable de mes actes et non cela n'a rien avoir avec un quelconque changement de nom comme toi, j'ai tout simplement décidé de ne plus me soucier de ce que je fais et pourquoi je le fais. Kenneth, il est temps pour toi de comprendre que même si certaines choses horrible peuvent être faites par toi ou par moi, il y a une chose qui ne se fait pas, s'attaquer à une femme enceinte, nous savons que le bébé de Lauren Bonaparte est en vie, mais elle, nous ne le savons pas, c'est exactement ce qui en sera de ta femme alors que notre combat aura lieu. Kenneth, dit au revoir à ta femme pour la dernière fois, peut-être !!!

Orton se dirige vers Shawn A. Anderson, il la gifle violemment, il lui retire les chaînes et lui envoi en RKO sur le plancher, devant la caméra, Orton sourit à cette dernière et place miss Anderson en position, il se recule lentement et se positionne, il calcule son coup......COMMOTION KICK !!!!!!!! Orton se dirige vers la caméra il la fixe des yeux avec un sourire satisfait.

Randy Orton » Tu peux y aller Storm, tout a été fait de mon côté, Ken Anderson va vouloir nous tuer après ce que nous avons fait à sa tendre épouse de merde. Montrons-leur que les Legend Killers règneront sur la Nation of Wrestling.

NoN #40 - MAIN EVENT : les Legend Killers vs. Ken Anderson et MsChif. 312

James Storm » C’est bon Ha ha ! Tu es fort Orton, très fort, je vais avoir Cheerleader Melissa, je vais l’avoir, à minuit, j’attrape cette lesbienne dans sa chambre d’hôtel et je là pends par les pieds.

24h00 – James Storm cogne à la porte d’hôtel en prenant la peine de se mettre une cagoule sur la tête. Il s’annonce comme être le service aux chambres, tout est arrangé bien sûr. Melissa ouvre la porte et Storm l’attrape par les bras, elle crie, mais personne en répond à ses cris. Mschif n’est pas dans la chambre. Melissa est repoussé contre le lit et Storm là menotte aux quatre coins, il a changé son plan de départ, mais le résultat est le même. Storm prend son cellulaire et appelle Orton.

James Storm » Je l’ai !

Randy Orton » Bonne chance ! Je te rejoins à l’hôtel, je suis sur mon départ. Ces deux putes vont voir la vie d’un autre angle.

James Storm » Melissa, Melissa, Melissa ! Tu sais ce que c’est que la vie, tu es attaché au lit comme une pute des sites Internet sur le bondage et toutes ses cochonneries là. Je sais que tu pratiques ça tous les soirs avec ta sorcière du dimanche Mschif. Je peux te raconter n’importe quoi, mais tu sais que Mschif et moi, nous avons un lourd passé. Aujourd’hui, c’est différent. Elle s’est allié au diable en personne se montrer et se pavaner devant tout le monde comme la nouvelle flamme de Kenneth Anderson. Pauvre enfant ! Mschif pourrait être sa nouvelle flamme par contre, parce que la femme de Anderson est dans le pays des rêves, gracieuseté de Randy Orton. Mschif se prétend révolutionnaire, contre tout ce qui est politiquement correct, mais c’est simplement une pute égoïste. C’est une fraude, elle n’est rien d’autre que le reflet du miroir de n’importe qui. Elle crie comme une salope, elle grogne comme une chienne de prairie et elle se bat comme un éléphant. Vous savez quoi, j’ai regardé South Park hier soir et je suis tombé sur un vieux épisode. Tu sais Melissa, regarde-moi dans mes putains de yeux quand je te parle. Mschif n’est rien d’autre qu’une Krukapoc ! Tu sais la bestiole avec la jambe de Patrick Duffy, je sais que tu te souviens. Je vois tes yeux, je sens la peur et même peut-être les rires. Que veux-tu, Mschif c’est ça. Elle fait en sorte qu’on puisse rire d’elle, qu’on puisse rire de son merveilleux talent de comédienne antisociale. Je suis même surpris qu’elle ait une amie sur cette terre. Pourquoi tu es avec elle Melissa, pourquoi ? Je ne vois qu’une chose que te pousse à être avec elle, tu es une putain de lesbienne. Tu veux faire broute minou avec la pute verte. Je crois que nous avons la réponse, c’est ça, hein ? Tu peux faire un putain de signe de tête quand je te parle, espèce de racaille.

Melissa regarde James Storm avec des yeux meurtriers. Si elle se défait de ses liens, je ne sais pas si Storm pourrait ressortir vivant de cette chambre.

NoN #40 - MAIN EVENT : les Legend Killers vs. Ken Anderson et MsChif. 411

James Storm » Tu sais que tu as de beaux yeux de salope, j’adore ça. Je vais t’expliquer un problème fondamental avec Mschif. Mschif n’est pas une femme, ce n’est même pas quelque chose d’humain. Je ne sais même pas d’où elle sort, peut-être de son propre cul, qui sait ? Imagine la chose, Rachel Donaldson, cette grande scientifique chie quelque chose, cette femme Rachel est tout ce qui a de normal dans le monde. Elle chie quelque chose de vert comme du Plaxmol. Cette Rachel est bizarre ensuite, elle se fait attaquer par son propre fluide bizarre, vous savez comme dans Spiderman. Ensuite, elle devient ce que vous voyez aujourd’hui, une pauvre bouse verte avec un talent pauvre comme lutteuse. Tu sais Melissa, Anderson est brillant, il a cette fille de son côté, il sait prendre ses partenaires, mais pas pour se battre. Pour paraître intelligent et fort, il prend la plus bête, laide et faible des filles de cette fédération. Il finira par s’attaquer à elle. Anderson n’est qu’un batteur de femmes, regardez, ce lâche a laissé Lauren Bonaparte pour morte dans le centre du ring. Il fera la même chose avec Mschif. Mschif est idiote, elle se laisse entraîner dans quelque chose de malsain. Foley est un imbécile de l’avoir mise sur notre chemin cette semaine, je sais son point faible et c’est toi. Sa seule amie, sa seule chose qui compte pour elle, sa petite cheerleader, son fantasme sexuel. Intéressant tout de même, car c’est mon fantasme à moi aussi, une belle petite cheerleader, c’est intéressant tout de même. On pourrait se ressembler un peu tu sais, Mschif et moi pourrions être frères et sœurs, mais n’y compte. C’est une vérité qui pourrait faire mal, mais jamais je laisserais quelqu’un comme ça dans ma famille. Tu sais, je crois que je vais enlever ton bâillon, le fait de t’entendre crier va m’aider à me concentrer.

Storm enlève le bâillon de Cheerleader Melissa, mais elle reste sur le lit sans crier et sans broncher. Storm là regarde bizarrement.

Cheerleader Melissa » Si tu penses que je vais crier espèce d’imbécile. Ce serait te donner raison et je ne veux pas le faire, tu n’es qu’un lâche. Tu as peur de Mschif, tu as peur de ce qu’elle représente, this is your Soul’…

James Storm » FERME TA GEULE ! FERME TA PUTAIN DE GUEULE ! Ne prononce pas ces mots en ma présence, ne prononce jamais cela, car ce n’est pas vrai. Mschif ne m’a jamais battu en un contre un, elle ne sait pas comment me battre, elle ne sait pas comment me jouer dans la tête. Tu sais, j’ai détruit sa société de la terreur une première fois et je peux facilement recommencer, je suis le Soul’s Tormentor de Mschif et non le contraire t’entends, je suis son maître et je vais le prouver encore une fois ce dimanche. Tu m’entends espèce de salope de merde. C’est notre destinée d’étamper le visage de ces deux connards lors de NoW or NeVer. Mschif n’est plus ni moins qu’une personne ordinaire qui n’attend que se faire mettre à sa place ou se faire mettre tout simplement. Jamais, oh grand jamais les Legend Killers vont s’éteindre dans un match comme ça et ce n’est pas ta Mschif qui va venir changer ça. Fais juste regarder le passé. J’ai été champion Universal, Mschif l’a presque été, mais le mot clé dans cette phrase, c’est le presque. Randy Orton pense exactement comme moi, il pense que nous sommes plus fort, plus brillant et surtout plus violent que les autres. Regarde, c’est pour cette raison que la femme de Anderson va se retrouver à l’hôpital et que toi tu es attaché à ce lit présentement. Quand il va arriver, nous allons décider ce que nous allons faire de toi Melissa. Oh ! Je crois que nous avons de la visite.

Storm se dirige vers la porte et Orton entre rapidement avec un large sourire aux lèvres, les deux hommes se serrent la main et ils regardent ensuite Melissa.

James Storm » Tu sais quoi Orton ? Je crois qu’on devrait se servir, nous avons une petite cheerleader verte avec nous. On devrait s’amuser comme dans Zombieland, tu penses pas.

Randy Orton » Je crois qu’on va suivre la première idée, on l’enferme dans le garde-robe. Ne laissons rien au hasard, laissons aussi Mschif déchaîner sa fureur quand elle verra le tout.

Storm et Orton attrape Melissa et ils l’enferment dans le garde-robe. Orton et Storm se retournent rapidement vers la caméra placée par Storm un peu plus tôt dans la soirée.

James Storm » Mschif, I’m your Soul’s Tormentor !

Randy Orton » From St-Louis Missouriiiiii ! Mr. Orrrrrrrrrton…..Orton !

Storm brise la caméra et c’est comme ça que tout se termine, nous aurons droit à tout un affrontement ce dimanche lors de NoW or NeVer.
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MessageSujet: Re: NoN #40 - MAIN EVENT : les Legend Killers vs. Ken Anderson et MsChif.   NoN #40 - MAIN EVENT : les Legend Killers vs. Ken Anderson et MsChif. EmptyDim 7 Fév - 2:45

No Freedom est maintenant terminé. Ce Pay-Per-View nous a livré son lot de surprises, et les lutteurs peuvent maintenant retourner à leurs occupations. MsChif et Cheerleader Melissa, satisfaites de leurs retrouvailles, ont décidé d’un commun accord de rester à Green Bay pour quelques jours. Vingt- quatre heures après avoir quitté le Lambeau Field, les deux jeunes femmes se rendent dans un petit restaurant de la ville. Du monde s’agite dans l’établissement, nos héroïnes décident donc de prendre place dans le fond, bien discrètement. MsChif scrute les alentours, et prend soin de juger du regard les gens sur lesquels elle pose ses yeux. Melissa, quant à elle, paraît préoccupée. Quand la porte s’ouvre, cette dernière retient son souffle. Après quelques minutes, Rachel engage la conversation, pour tenter de calmer son amie.

MsCHIF | J’ai délivré une performance impressionnante hier soir, n’est-ce pas ?

CHEERLEADER MELISSA | Je dois bien l’admettre, j’ai bien fait de te suivre, oui. Mais dimanche prochain, la tâche ne sera pas facile non plus.

MsCHIF | Je sais, je sais. Et c’est exactement pour cela que nous sommes ici. Il faut préparer le terrain, tu comprends ?

CHEERLEADER MELISSA | Cette fois encore, je n’ai aucune idée à ce que tu racontes. Il faudra que tu apprennes à parler clairement, un jour ou l’autre.

La cloche fixée au-dessus de la porte d’entrée sonne. MsChif jette un bref regard vers l’homme qui arrive, sourit, et recentre son attention sur la pom-pom girl. Elle la regarde droit dans les yeux puis reprend.

MsCHIF | Melissa, tu vas comprendre très vite. Fais-moi confiance.

Your Soul’s Tormentor se lève, et se dirige - avec une assurance incroyable - vers le bar. Là, le nouvel arrivé lui tourne le dos. Il attrape le verre qu’il vient de commander, et le sirote avant de remarquer cette présence pesante derrière lui. Sans la moindre hésitation, il tourne la tête. L’étonnement le gagne sans attendre, alors que MsChif esquisse un sourire de vainqueur.

MsCHIF | Content de me voir, Ken ?

Voilà un rebondissement digne des plus grands films hollywoodiens. Ken Anderson, tentant de ne pas se laisser dépasser par la situation, dégaine son plus beau sourire en réponse à MsChif, et reprend son verre en main.

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KEN ANDERSON | Surpris, surtout.

MsCHIF | Félicitations pour cette victoire sur Johnny Kennedy. Comment est-ce que tu vas ?

KEN ANDERSON | Je viens d’apprendre que Johnny n’était pas mon frère, il ne s’agit que d’un usurpateur. Long story, je te raconterai tout ça plus tard. Et toi, comment ça va ?

MsCHIF | Tu n’as pas regardé mon match contre l’ange fichu ?

KEN ANDERSON | L’annonce de ce match nul n’est que le fruit d’une association de malfaiteurs, ni plus, ni moins. Tu aurais dû l’emporter, tu aurais dû être la championne.

MsCHIF | Nous sommes d’accord. Est-ce que tu te joins à nous ?

KEN ANDERSON | Nous ?

MsCHIF | Une vieille amie, Melissa. Allez, viens. Ne fais pas le pilier de comptoir, ne t’abaisse pas au niveau de Steve Austin.

Ken Anderson est curieux. Sans prendre le soin de répondre à son interlocutrice, il prend son verre et suit MsChif sans broncher. Une fois arrivé au fond de la salle, un malaise s’installe entre les trois athlètes.

MsCHIF | Qu’est-ce qu’il se passe, ici ?

KEN ANDERSON | Quelque chose me turlupine, pour être honnête.

MsCHIF | Alors sois honnête jusqu’au bout.

KEN ANDERSON | Je sais qui est ton amie.

CHEERLEADER MELISSA | Et qui est-ce que je suis ?

KEN ANDERSON | Tu t’appelles Melissa Anderson.

It’s true, it’s damn true.

CHEERLEADER MELISSA | Je ne suis pas ta petite sœur et je n’essaierai pas de me faire passer pour elle, ne t’inquiète pas.

MsCHIF | Ces histoires de fraternité sont terminées, Ken.

KEN ANDERSON | Vous avez raison, excusez-moi.

MsCHIF | Nous sommes loyales l’une envers l’autre depuis de nombreuses années. Tu as été capable de me faire confiance, tu pourras lui faire confiance à elle aussi, crois-moi.

KEN ANDERSON | MelisChif’s stuff, right?

MsCHIF | Exactement.

NoN #40 - MAIN EVENT : les Legend Killers vs. Ken Anderson et MsChif. 11552421762288_dafmelchif3cd03fa614

KEN ANDERSON | Parlons business, tu veux. Ce n’est pas ton genre de traîner dans un bistrot de quartier, que fais-tu, ici ?

MsCHIF | Nous t’attendions.

KEN ANDERSON | Que se passe-t-il ?

MsCHIF | La semaine prochaine, nous allons de nouveau faire équipe. Nous affronterons nos plus vieux ennemis, James Storm et Randy Orton.

KEN ANDERSON | Il semblerait que les deux tueuses de légendes vont finalement comprendre qui sont les réelles légendes de cette industrie. C’est bien beau de s’en prendre à des personnes âgées tel Bret Hart, Ric Flair ou encore Carlos Colon alors que la logique des choses voudraient qu’ils s’en prennent à des personnalités de notre calibre, maintes fois titrés, maintes fois décorés. Il était temps pour les administrateurs de cette fédération de montrer qu’ils possédaient un poil d’intelligence. Malheureusement pour eux, ils s’en mordront les doigts lorsqu’ils se retrouveront devant le fait accomplis, lorsqu’ils comprendront qu’ils vendent les personnages de James Storm et de Randy Orton autour de cette stupidité que peut-être la Legend Killer attitude alors qu’ils seront incapables de l’emporter sur les légendes que nous sommes. J’ai déjà battu Randy Orton, je le ferai à nouveau. Tu as déjà vaincu James Storm, tu le…

Elle coupe la parole en plus, cette garce.

MsCHIF | Tu veux vraiment me parler de ce cow-boy de malheur ? Je connais bien James Storm, un peu trop bien, même. Et qu’est ce que cela m’a-t-il apporté ? Juste des ennuis. Cet homme m’a mis des bâtons dans les roues pendant des mois, il a développé un goût tout particulier à marcher dans mon ombre, à suivre mes traces. Je n’apprécie pas qu’on me colle de si près, figure-toi. Je croyais que James l’avait compris, mais le voilà encore une fois sur ma route. Ah, les hommes, ils sont tous les mêmes. Voilà pourquoi je les évite, d’ailleurs.

KEN ANDERSON | Parce que tu crois que tu es la seule à avoir cette impression, huh ? Si quelqu’un doit se sentir oppressé par la personne qu’est James Storm ici, c’est moi. James Storm vit dans mon ombre depuis le début de sa carrière au sein de la nation. Il n’est qu’une pâle copie de moi-même, et du génie que je suis. James Storm a toujours été jaloux de moi, il a toujours été envieux de la superstar que je pouvais être. Lorsque nous étions en compétition l’un contre l’autre, Chif, qui est venu me proposer son aide dans mon combat contre la Terror Society ? STORM ! Lorsque j’étais champion Free-League et lui champion Universal, qui n’arrêtait de me demander, hors-antenne, pourquoi mon règne était plus mis en avant que le sien ? STORM ! Quel imbécile lutteur a perdu un titre contre moi sans jamais demander de rematch ? STORM ! Qui essaie de remporter le championnat par équipe juste pour avoir le même rang que moi ? STORM ! Qui est le seul pèlerin défendant les idéaux que je peux avoir depuis Christmas Chaos ? STORM, STORM and always JAMES STORM ! Cet ivrogne ne comprendra jamais qu’il ne pourra jamais m’égaler. Lorsque je lui aurai botté les fesses dimanche prochain, il ne le comprendra pas non plus. James Storm n’est qu’un imbécile à mes yeux.

MsCHIF | Mais les problèmes de James ne s’arrêtent pas là. Nul n’est sans savoir que c’est un alcoolique notoire. Je veux dire par là qu’il représente un réel danger pour la société. Et qu’est ce que ce poivrot a-t-il trouvé pour se faire remarqué, maintenant que son taux d’alcoolémie est passé au stade de banalité ? Il s’associe à un sale petit gosse de riche privilégié et frustré ! Ses mauvaises fréquentations le tueront : la bouteille, le KKK, et même Randy Orton. Cela réuni, on peut néanmoins en déduire une certitude. James Storm est aussi hypocrite que tous les autres membres de la Nation du Catch réunis. Une girouette ne changerait pas de direction aussi vite que lui ! On m’a souvent dit qu’il fallait savoir être plus malin que les autres dans la vie. Moi, j’appelle ça le mensonge. S’associer à ses propres ennemis en est un, évidemment. Storm boit, il est crade, vulgaire, et désespérément inapte à se fondre dans le moule. De son côté, son nouveau meilleur ami jouit d’une situation sociale importante depuis son plus jeune âge, porte des vêtements de marque et boit du champagne au prix d’un mois de course pour les gens normaux. Rien ne te choque, dans ce joli tableau, Ken ? Ils ne sont pas du même monde, leurs rangs diffèrent, tout les sépare. Et pourtant, l’hypocrisie pousse le pauvre James à trouver refuse au près de son riche ami. Les conventions sociales me dégoûtent, et ce depuis toujours. Cette pseudo-amitié à but lucratif ne peut être que pire.

KEN ANDERSON | Encore une fois, Chif. Il faut que tu comprennes le pourquoi du comment. Comme je viens de te le dire. James Storm suit chacune de mes directions prises au sein de cette nation en une année et demie de carrière. James Storm en est encore au stade où il se demande pourquoi est-ce qu’il n’est pas aussi populaire que moi, pourquoi est-ce qu’il ne fait pas autant vendre que moi. James Storm a pris une monstrueuse claque dans la gueule et son ego a été heurté le jour où j’ai décidé de mettre le passé de côté et de faire équipe avec toi. Ce moins que rien s’est demandé comment ai-je pu privilégier une ancienne ennemi au détriment d’un ancien partenaire de croisade. James Storm comprendra tôt ou tard que je n’ai rien à voir avec lui le jour où il comprendra qu’il n’a absolument rien à faire dans notre ligue, lorsqu’il comprendra que nous ne sommes pas dans la même division. Notre union est le fruit de la sienne avec Randy Orton. Ils n’ont rien à faire ensemble, je suis d’accord avec toi. Il sait pertinemment que Randy Orton est l’une des seules personnes à me faire réagir au sein de cette nation. Alors, que fait-il ? Il s’associe avec lui dans le seul et unique but de me faire réagir ? Newsflash, j’en avais complètement rien à faire et il n’a pu le supporter. Faire équipe avec moi contre la société de la terreur fut le seul et unique moment de gloire au sein de sa pitoyable carrière, ici. Il est à la recherche de ce bonheur. C’est pourquoi il me colle aux fesses de cette manière, ce vicieux.

MsCHIF | James aime les vices, il se délecte de la haine que les gens peuvent lui porter. Mais qui est le pire, l’homme qui suit aveuglement le chemin que la société lui conseille par peur de la punition, ou celui qui se force à faire le contraire pour se donner le rôle du grand méchant anti-héros ? Oui, c’est ce que James Storm fait, et ce depuis le début. Il est incapable de penser par lui-même, de faire ses propres choix, alors il réagit par opposition. « Un mec bien se battrait à la loyale, et ne picolerait pas cinq minutes avant de monter sur le ring. Putain, je dois faire le contraire alors ! Où j’ai foutu ma bière ? ». Quel bel exemple de l’intelligence masculine. Si un jour notre cow-boy se remettait en question, peut-être comprendrait-il d’où viennent tous ses échecs, toutes ses défaites. Mais il est trop alcoolisé et stupide pour cela. Malgré tout, il se voit quand même le privilège d’affronter des légendes de cette fédération comme nous. Tu veux savoir ce que ce combat apportera ? Il apportera simplement la preuve de ce que j’avance.

KEN ANDERSON | James Storm n’attend qu’une chose, ce match. Crois-moi. Il fera tout son possible pour fouler le ring contre toi, pour essayer de me montrer que j’aurai du le choisir lui, et non toi. Lorsque ce sera à mon tour de fouler le ring, il passera la main à Randy Orton tel le lâche qu’il est, qu’il a toujours été et qu’il sera tout le reste de sa misérable vie. Même après cette nouvelle défaite qui l’attend, il n’aura pas le discernement, l’intelligence et la capacité à comprendre que tout est terminé, qu’il doit tirer un trait sur cette admiration qu’il me porte. Il passera plusieurs nuits au comptoir à se demander comment et pourquoi, lui, n’est pas capable de lutter en allant boire quelques verres par semaine alors que moi, Kenneth Anderson, peut se permettre ce luxe aux côtés de deux grandes et talentueuses lutteuses et être fin prêt, dimanche, à casser quelques dents. James Storm est aussi jaloux de toi, Chif. Il est envieux du lutteur que je suis, mais il t’envie, toi, parce que tu es certainement la personne la plus intelligente de cette nation, et celle qui a le mieux compris la société qui nous entoure. Il aimerait être comme toi, à ce niveau-là.

MsCHIF | Tu as raison, j’ai toujours été la seule à prêcher le vrai dans l’enceinte de la Nation du Catch, et cela énerve Storm depuis le tout début. Il était jaloux de mon règne en tant que championne Free-League. Il a tout essayé, match après match, pour me déstabiliser, pour me tirer vers le bas. Mais le fait est que j’ai gagné. Sur la durée, je l’ai largement battu. Qu’est ce qui me permet de dire cela ? Les trois ceintures qui ont ornées mes hanches, le nombre de combats que j’ai fièrement remportés, le fait que plus de la moitié des hommes de la Nation n’ont pas su atteindre le niveau de LA femme de la Nation. Tu me suis, Ken ? J’aurai dû gagner le titre suprême la semaine dernière, c’est vrai. J’ai tendance à me montrer légèrement irritée quand je repense à ce draw, à ce foutu draw. Et quelque chose me dit que si j’affronte l’un de mes pires ennemis dans cette période si frustrante, ce n’est pas pour rien. James connaît bien le Dante’s Inferno, lui aussi. Il l’a vu plus d’une fois, en voyant la rage dans mes yeux, la hargne dans mes coups, mais jamais il ne pourrait se douter de la douleur intenable qui l’attend. Pendant qu’il s’entichait de partenaires tous plus minables les uns que les autres, comme Chris Harris ou Jackie Moore, je bâtissais ma réputation, je créais ma propre légende. Aujourd’hui, je suis au sommet, je m’ennuierais presque s’il ne me restait pas les tag team matchs, et lui continue de picoler comme au premier jour, car il est trop stupide pour évoluer.

KEN ANDERSON | Ce n’est qu’un ivrogne, qu’un soiffard, qu’un poivrot, qu’un sac à vin et qu’un ilote. Il l’a toujours été et le sera pour le reste de sa fichue carrière. Il a réussi à baptiser un début de carrière sur ce personnage de buveur de bières à tout-va. Il ne peut pas évoluer, tu l’as si bien souligné. Il se suffit de cette marque de fabrique. Il a réussi à se faire reconnaître dans le métier comme ça, pourquoi essayer d’évoluer ? L’autosuffisance ou le manque de capacités pour y parvenir ? Nous savons tous les deux qu’il s’agit de la deuxième option, ici.

MsCHIF | Son personnage est une blague de goût douteux, orchestrée dans le seul but de faire vendre, un autre fiasco à ajouter à son palmarès. Personne n’aime les cow-boys, personne ne croit à ses faux airs de caïds et personne n’a envie de le voir menotter ses ennemis aux cordes du ring parce qu’il n’est pas capable de livrer une bagarre honnête ! Que Storm apporte-t-il à la Nation du Catch ? Des fourberies qu’il n’est pas foutu d’imaginer lui-même, car ce mouton préfère suivre les ordres de son associé. Qu’est-il pour la Nation du Catch ? Ni plus, ni moins qu’une gueule haïssable que les fans pourront maltraitée à souhait. Cela décharge les « heels » compétents qui assurent de bonnes prestations. Tu veux que je te dise, Anderson ? La seule chose qui mérite de marquer les esprits en ce qui concerne James Storm est le nombre de fois où il a eu l’énorme privilège de m’affronter. I’m his soul’s torm…

LA SERVEUSE | Bonsoir, qu’est ce que je vous sers ?

MsChif coupe la parole à Ken. La serveuse coupe la parole à MsChif. Melissa coupera-t-elle la parole à la serveuse ?

CHEERLEADER MELISSA | C’est qui cette putain ?

LA SERVEUSE | Moi c’est Lauren, je suis la serveuse.

KEN ANDERSON | Lauren ?

LA SERVEUSE | Oui, Lauren Dupree.

CHEERLEADER MELISSA | Est-ce que t’es une putain ?

LA SERVEUSE | Non, je ne pense pas.

MsCHIF | Comment s’appelle celle que tu as frappé, Ken ?

KEN ANDERSON | Lauren Bonaparte.

LA SERVEUSE | D’ailleurs, pourquoi est-ce que vous avez fait ça ?

KEN ANDERSON | Légitime défense.

LA SERVEUSE | Je peux prendre une photo avec vous ?

CHEERLEADER MELISSA | Comment tu payes, la putain ?

LA SERVEUSE | Open bar à volonté, toute la soirée ?

C’est Ken Anderson qui prend la photo.

NoN #40 - MAIN EVENT : les Legend Killers vs. Ken Anderson et MsChif. 7323197377023_melissa18266925b14

Sourires hypocrites, comme James Storm, Randy Orton, René Bonaparte et tous les québécois d’ici et d’ailleurs.

CHEERLEADER MELISSA | Allez, casse-toi.

L’abrutie est contente, et nous, on peut picoler à volonté.

KEN ANDERSON | Vous voyez. Je frappe une femme en état de légitime défense, tout le monde en parle comme si c’était la fin du monde. Randy Orton frappe Trish Stratus alors qu’il n’était pas en état de légitime défense et tout le monde s’en fout. Sacré Randy, toujours bloqué dans les abysses de l’indifférence la plus complète.

MsCHIF | Je n’ai aucun respect pour James Storm, mais avouons que lui, au moins, a su mériter sa place. Randy Orton est le parfait exemple de ce que je reproche à notre société. Les tarifs préférentiels, tu connais ? C’est exactement ce dont ce petit fils de riche à bénéficier toute sa vie, pendant que les braves gens se démenaient autour de lui. Je doute même qu’il ait remarqué que de l’autre côté de la rue, certains devaient travailler et s’accrocher pour réussir, pendant que lui, de son côté, soudoyait les professeurs pour passer les examens. Mais il va devoir apprendre une chose : il n’y a pas que l’argent et les playmates dans la vie, il y a aussi la fierté de mériter ce qui nous arrive. Tu veux connaître la différence entre un sale gosse à qui tout est offert et une femme qui doit se battre pour se faire une place dans un milieu réservé aux hommes ? Le talent ! Toutes les liasses de billets du monde ne pourront pas acheter à ce pauvre petit une once de talent. Décrocher la place de quater back de l’équipe de football au lycée grâce à papa n’est pas un entraînement suffisant. Pas pour prétendre pouvoir battre les meilleurs sur un ring, tout du moins. J’ai connu beaucoup d’hommes comme Randy dans ma vie, prétentieux, hautains, fiers d’eux. Ils ont tous un point commun. Ils souffrent énormément en réalisant à quel point leurs existences sont vaines, vides de sens, menées par les choix de papa et maman.

KEN ANDERSON | Randy Orton a participé au main event de Never Backdown I contre moi grâce à sa notoriété, grâce au pactole que papa et maman ont déposés en achetant plusieurs actions à la bourse de NYC. Randy Orton n’a jamais été placé aussi haut au niveau de notre hiérarchie par talent, ses dernières performances le prouvent. Randy Orton n’a pas supporté l’affront qu’il a subi lors de cet évènement. Il a été humilié par le champion, par moi. Il n’a pas supporté de parâtre ridicule à la face du monde et a décidé de se retirer des rings quelques temps dans le seul et unique but de se faire oublier. Parce que si les gens l’oublient, les gens oublieront également de quelle manière il a été ridicule lors du rendez-vous le plus important de l’histoire de la lutte toute entière. Paraître pathétique aux yeux des fans est la chose la plus grave qui puisse arriver à un lutteur. Est-ce que j’ai déjà eu l’air pathétique ? NON ! Est-ce que toi, Chif, tu l’as déjà été ? NON PLUS. Randy Orton, lui, oui. Son retour a été orchestré dans le seul et unique but de faire plaisir aux différents actionnaires de cette vaste blague qu’est notre fédération, transformée depuis peu en multinationale. De nombreux lutteurs ont connus ce que l’on appelle les retours gagnants. Lui, Randy Orton, est le seul à ne pas avoir connu ça. DEFAITES, DEFAITES, et encore et toujours des DEFAITES ! Randy Orton n’a même pas été capable de prendre le titre intermédiaire lors du dernier évènement phare de cette nation. Cela a enfin prouvé à la face du monde qu’il n’a absolument rien à faire du côté des HIGH-CARDERS, MAIN-EVENTERS and TRUE WRESTLERS.

MsCHIF | Randy Orton devra ouvrir les yeux dimanche soir, il ne verra pas que le Dante’s Inferno, non, il verra aussi la vérité. Un coup de pied bien placé ne peut pas tout arranger. Dans la vie, il faut savoir aller de l’avant, se réinventer chaque jour, relever les défis. Le luxe amène à la luxure, la luxure à la paresse, la paresse à l’envie, et les autres péchés ne tardent pas à suivre. Les hommes comme Randy savent, au fond d’eux, qu’ils ne sont que des incapables. Ce n’est pas de leur faute, puisque tout leur est offert depuis la naissance. Mais le jour où ils décident d’aller chercher la réussite par eux-mêmes, ils se rendent compte que ce n’est pas si facile, que la vie n’est pas un conte de fée. Orton voudrait nous battre, Ken, mais il verra bientôt que l’argent ne peut pas acheter un bon entraînement, ni une carrière ponctuée de succès.

KEN ANDERSON | La nation est notre jardin, notre jardin n’est pas ouvert à tous. James Storm et Randy Orton brilleront peut-être contre les Colons, mais qu’ils ne s’y trompent pas, ils ne brilleront pas contre nous. L’alchimie entre deux partenaires est quelque chose que Randy Orton ne peut pas s’offrir. Quelque soit le capital financier qu’il dispose, il ne pourra jamais s’offrir la capacité intellectuelle nécessaire au bon fonctionnement d’une équipe. C’est pourquoi nous formons une équipe occasionnelle de choc, et c’est également pourquoi nous l’emporterons dimanche prochain.

MsCHIF | Nous formons une bonne équipe, Anderson, c’est indéniable, Dinero et LuFisto peuvent en témoigner, mais ce n’est pas un hasard. Nous sommes fait pour nous entendre, nous connaissons le revers de la médaille dans ce business, et nous n’avons jamais hésité à se mettre des gens à dos pour aller au bout de nos capacités. C’est quelque chose que peu de gens peuvent comprendre, et cela nous uni. C’est bien plus fort que l’appât du gain qui attire Storm vers Orton, ou les airs de rebelles qui tentent Orton chez Storm. Nous sommes liés par le talent, la réussite et le succès, en toute honnêteté, sans compromis. Pendant que Randy Orton affiche sa fortune entre belles voitures et costards hors de prix, nous restons nous-mêmes. Pendant que James Storm s’autodétruit, frasque après frasque, pour oublier qu’il a raté sa vie et sa carrière, nous continuons à grimper vers le sommet, alors que nous marchons déjà dans les étoiles.

KEN ANDERSON | Pendant que nous étions en bas de l’échelle, nos adversaires brillaient au sein de ce business. Depuis que nous grimpons vers le sommet, nos adversaires se cassent la gueule. Dimanche soir, nous prendrons place, une nouvelle fois encore, au sommet de cette nation. Personne n’aura été plus haut que nous, true story. Nos adversaires, eux, verront leur rocambolesque descente en enfer prendre fin une fois que nous les aurons aplatis comme de vulgaires insectes. Parce que oui, James Storm et Randy Orton ne sont que des parasites. Ce ne sont que des pique-assiettes et il s’avère que dimanche soir, cette assiette sera enfin vide. Plus personne ne verra Randy Orton sous le même angle, encore moins son partenaire. Notre victoire chamboulera une nouvelle fois toute cette nation. Notre victoire sera le fruit d’un nouveau départ dans l’ombre de notre cher et tendre Randy Orton. Ce dernier sait ce qu’il arrivera dimanche, c’est pourquoi il doit certainement être en train de se préparer un nouvel exil de luxe, entre plages dorées, cocktails chargés et putains mal-baisées.

MsCHIF | Randy Orton est peut-être riche financièrement, mais il ne possède rien sur le ring. Il est comme un nouveau-né perdu dans la fosse aux lions, et puisqu’il ne sait pas se battre, il tente de gagner la sympathie des gens qui l’entourent pour ne pas se faire dévorer. James Storm est tombé dans le piège, il est bien le seul. La sobriété l’aiderait peut-être à y voir plus clair, s’il savait ce que ce mot signifie. Mais la situation doit bien arranger le petit bourgeois, puisqu'il a besoin de quelqu'un d'assez courageux pour le protéger et le défendre contre le reste du monde. Si c'est pas beau, l'amitié !

KEN ANDERSON | Crois-moi sur parole, Chif. James Storm ne voudra plus le défendre lorsqu’il se retrouvera sur le ring, face à nous. Ils verront, tous les deux, à quel point nous avons évolué depuis nos dernières confrontations respectives. Ils s’échangeront pitoyablement les rôles tous le long du combat pour éviter d’en prendre encore et encore dans les dents. Seul un fou pourrait accepter de se placer entre nous et la victoire. Randy Orton n’est pas fou, il jouera gros, son association avec James Storm si il le faut, mais il fera tout pour ressortir indemne de cette bataille. Son exil après Never Backdown n’était pas que le fruit de la honte, non. Il était également dû à toutes les blessures que j’ai pu lui affliger pendant cette rencontre, que ce soit physique ou psychologique.

MsCHIF | Orton et moi avons beau venir de la même ville, rien d'autre ne nous rapproche. Pendant qu'il recevait les plus beaux jouets du monde, je me forgeais un caractère. Pendant qu'il réussissait ses examens grâce au directeur qui le couvrait, je révisais comme une folle pour obtenir mon diplôme par les voies traditionnelles, pendant qu'il se rendait en Porsche dans ses soirées mondaines, je m'entraînais pour m'assurer un avenir, et maintenant qu'il profite des paillettes de la gloire, je continue à tout faire pour rester la meilleure car si je suis sûre d'une chose, c'est que la lutte se passe sur un ring, et non pas sur un tapis rouge. A choisir, jamais je n'échangerai ma place avec un homme qui croit que le circuit indy est une piste de formule un. Je ne calcule pas la valeur d'une personne au nombre de coupe de champagne qu'elle se fait offrir, mais sa grandeur d'âme. C'est sûrement pour cela que je suis où j'en suis, pendant que Randy continue de croire que la vie se limite au confort de sa villa.

KEN ANDERSON | Le confort, c’est la victoire. Le bien-être, c’est la notoriété. Le luxe, c’est le talent. L’agrément, c’est de casser des belles gueules d’anges les unes après les autres sans que personne ne nous demande des comptes. Voilà que nous avons, contrairement à nos adversaires. Gagnerons-nous, dimanche prochain ? OUI. Il est maintenant temps d’en finir une bonne fois pour toute. James Storm peut pleurnicher de cette nouvelle confrontation ? Y’A DE QUOI ! Randy Orton peut trembler à l’idée de me refaire face ? J’EN TREMBLERAI AUSSI. Il n’y a que deux légendes à la nation de la lutte. IL N’Y A QUE DEUX TUEURS DE TUEURS DE LEGENDE à la nation, et ils se nomment… MSCHIF AND MISTER ANDERSON… AN-DER-SON !

Alors que tout le monde regarde ce qu’il se passe à la table des deux partenaires. Mister Anderson termine son dernier shot de tequila avant de s’en aller, sans rien dire, laissant les deux femmes, seules entre elles.

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CHEERLEADER MELISSA | Tu sais que je ne t’ai jamais vu donner autant de confiance à un homme ?

MsCHIF | Ce n’est pas n’importe qui.

CHEERLEADER MELISSA | Je viendrai avec vous, la semaine prochaine.

MsCHIF | Tu es la bienvenue.

CHEERLEADER MELISSA | Vous l’emporterez.

MsCHIF | Je sais.

CHEERLEADER MELISSA | Que s’est-il passé dans ton antre, hors caméra ?

MsCHIF | Tu le sauras, hors caméra.

En gros, c’est pour te dire que c’est un secret qui tu ne sauras jamais, accepte-le. Si il y a bien une chose que tu dois savoir, c’est qu’on va casser la gueule aux deux caribous que sont Ben et Franck. Notre co-op sera supérieure à la leur et nous gagnerons, encore. Amusez-vous bien, continuez de rêver, continuez de nous lire, continuez de vous demander pourquoi vous n’arrivez pas à pondre des RPs de ce calibre et nous, on vous emmerde (sauf Al).
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