NoN #22 : James Storm (c) vs. Bart Gunn

Ah bah enfin un match pour Ben ! Ninja

Nombre de messages : 5463 Age : 38 Date d'inscription : 30/09/2008

| Chapitre 12 : Who is Bart « Shot » Gunn ? |

Asheville, Caroline du Nord, un endroit si tranquille, un pourrait prétendre à un bled perdu du sud, mais ce n’est rien de cela, une ville d’ouvrier qui a une réputation d’être un bon endroit pour vivre dans le sud des États-Unis, mais quelque chose d’assez important va se passer dans cette ville, la Nation of Wrestling débarque. Une ville si tranquille va enfin être sur la carte et montrer qu’elle est capable d’encourager des athlètes de haut niveau, mais quelque chose, plutôt quelqu’un vient assombrir la tranquillité qui règne dans la ville…

James Storm » C’est quoi cette foutue merde ! Je veux parler à la direction et vite, je crois que j’ai besoin d’une bonne bière froide, que quelqu’un m’apporte une bière et faites vite. Hey toi, va me chercher une bière, tu ne sers qu’à ça de toute manière. Lâche d’écouter ton Eminem et fais vite.

Debby » Tout de suite monsieur !

Quelques secondes plus tard, Debby revient avec une bière et comme tout le monde doit le savoir maintenant, James Storm vient d’apprendre qu’il a un match cette semaine contre un nouveau venu depuis quelques semaines, Bart Gunn, on se demande ce qu’il a encore à vouloir demander ce qui se passe, nous le saurons j’en suis sûr dans quelques instants.

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James Storm » Hey toi le narrateur, ferme ta gueule ! J’ai viré les autres pour bien moins que ça. Non, mais sérieusement c’est quoi cette merde, une ville de merde avec aucun vrai bar, un aréna de merde où ça pue la l’animal mort, un public de merde qui ne connaît rien du vrai talent et surtout du mien et maintenant un match de merde contre une merde que je ne connais pas, James Storm contre Bart « Shot » Gunn, quelle affiche inutile et qui n,a aucun sens, je suis champion, je devrais avoir un peu plus de respect que cela, non ? Il se prend pour qui d’abord celui là, j’ai entendu dire que c’était un cow-boy, mais je ne comprends pas, je suis supposé être le seul cow-boy dans cette fédération, pourquoi en engagez un autre ? C’est les seules choses que je connais sur lui, alors pourquoi on lui donne un match contre moi, le seul double champion Free-League dans cette fédération, j’ai une reconnaissance non-acquise ici, si je fais le tour de l’aréna, je vais demander à beaucoup de monde ce qu’ils pensent de ce cow-boy. Je vais leur montrer que le seul cow-boy ici, c’est moi ! Je suis comme le personnage de bande dessinée, vous savez le gars avec un fusil et une cheval, vous savez il chante des chansons à la fin, son cheval parle, bon peu importe, c’est un cow-boy solitaire et je veux être comme lui. Si je fais le tour du building, on peut espérer trouver quelqu’un qui connaît cet imbécile de Bart Gunn. Suivez-moi, l’enquête commence. Je suis content, je me sens comme Chuck Norris en ce moment, c’est assez divertissant, mais il me manque la barbe rousse, je sais. Bon enfin quelqu’un, peux-tu me dire qui est cet énigmatique personnage du nom de Bart Gunn ! Sinon, je m’exprime bien, tu ne trouves pas ?

Yohan » C’est officiel que je connais Bart Gunn ! Il est tout à fait comme moi, psychologue et philosophe jusqu’au bout, il a des pensées magiques qui peuvent faire frémir n’importe qui, sérieusement c’est mon héros depuis un certain temps, j’aspire être comme lui dans les prochaines années, mais avec un peu plus de muscle et surtout des abdominaux d’en fer et sinon, puis tu t’exprimes bien pour un gars dans ton genre, mais pas autant que Bart « Shot » Gunn !

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James Storm » Heu? Je rêve ou quoi? Tu parles de ce gars comme si ce serait la huitième merveille du monde, plutôt la neuvième, car je suis la huitième, il faut se contenter de peu, il y a des choses qui ont été créé avant moi, mais je crois que le moule est brisé en ce qui a trait à cela. Donc, Yohan, c’est ça ? Moi aussi j’en ai une philosophie et une psychologie d’enfer, j’arrive, je bois, je me bats, je gagne, je vous emmerde et je retourne boire, est-ce que ton cow-boy peut faire ça lui, j’en doute. Ce n’est pas pour cette raison que je suis un être exceptionnel, je suis ce que je suis, je suis un héros pour beaucoup de monde en raison de mon talent et non par ma philosophie de vie et Yohan, comme tu as Bart Gunn comme héros, en passant, il a fait quoi pour devenir un héros aussi vite, ça fait combien de temps qu’il est ici, pas autant de temps que moi j’espère, car je n’ai jamais entendu parlé de lui et donc, pour cette raison Yohan, je peux dire que je t’emmerde et que je rentre à ma maison !

James Storm continue son chemin, mais tente de rebrousser chemin en voyant la prochaine personne à qui il fait face.

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Magloire » Oh mon gode ! Je peux tout de suite affirmer que toi, James Storm, ton jeans ne va pas du tout avec ton teint et que de boire autant te rend bouffi un peu.

James Storm » Tu peux fermer ta gueule aussi Magloire, je n’ai rien à foutre de ce que tu penses de mon teint et de la façon je m’habille, l’important c’est la tête, le cerveau, tu ne dois pas t’en servir souvent. Ce qui est important aussi, c’est ce que j’ai sur l’épaule.

Magloire » Tu sais, tu es vraiment méchant et impoli comme personne, tu n’es qu’un habitant, oui c’est ce que tu es, un habitant Storm, ce n’est pas mon petit Barty « Shotty » Gunny qui m’aurait par lé sur ce ton et qui m’aurait dit des choses aussi méchantes que tes paroles.

James Storm » Tu commences à être assez intéressant dans tes propos Magloire, tu connais Bart Gunn, quoi que ça me surprend pas vraiment comme je sais que plusieurs vont penser comme moi après avoir entendu tes dernières paroles, mais peux-tu en dire plus, car je crois que ça pourrait m’intéresser.

Magloire » Je veux juste te dire que tu oublies Shot dans son nom, il ne faut pas l’oublier, c’est mon héros, car son canon ne se situe pas à la même place que des gens pourraient le penser, car plusieurs pensent que c’est pour un fusil, mais je peux te dire une chose, dans un lit, il porte très bien le nom de Shot, si tu vois ce que je veux dire. En plus, il sait faire des choses que seulement quelques personnes peuvent faire dans ce monde. C’est assez incroyable comme sensation, c’est un adonis, un charmeur, il sait comment parler aux femmes, c’est un amour comme homme, il se donne à son corps, comme il se donne au mien, sais-tu comment on fait un shotgun, je peux te faire une démonstration…

James Storm » Hey ! Je ne veux pas savoir ce que c’est qu’un shotgun, je m’en balance, sauf que tu fais bien de me dire que je dois éviter d’approcher mon cul trop près de lui, tu sais, je n’ai plus besoin de toi Magloire, tu peux débarrasser le plancher, car je vais te faire voir le Stormgun si tu continues à me regarder comme ça et c’est beaucoup moins doux ce que ton petit Gunny peut te faire, alors dégage. Donc, si on en revient à nos moutons, je crois que tout s’explique maintenant, ses belles paroles, sa belle philosophie de vie, c’est évident, c’est une lopette de la pire espèce, vous savez, je crois que c’est la première fois que je suis content d’avoir parlé avec cet imbécile de Magloire. Je ne peux rien avoir <a craindre de Bart Gunn, car c’est une petite lopette, vous savez dans mon coin de pays, ce gars là se ferait lynché sur la place publique, je le sais, car c’est moi qui organise les lynchages. Je comprends aussi pourquoi il est dans cette fédération, la Nation of Wrestling veut aller chercher des cotes d’écoutes chez les tarlouses, c’est de plus en plus évident, je savais bien que quelque chose était caché derrière son attitude de bon garçon tout parfait que les autres décrivent. En plus, ça semble être le héros de tout le monde, depuis quand il y a des lopettes chez les héros, quoique qu’on pourrait avoir des doutes sur Batman et Robin, mais encore là ce n’est pas le sujet principal de l’enquête, donc si j’y vais du côté de Yohan, c’est un philosophe, si j’y vais du côté de Magloire, c’est un imbécile en plus d’être la pire tapette que le monde ait jamais connu, c’est assez intéressant, mais comme j’ai interviewé le jeune premier et l’idiot du village, il ne me reste plus que la starlette et je crois que je sais où le trouver.

Storm se dirige vers la machine à Nespresso de Clooney, mais en arrivant il voit Clooney qui ne semble plus quoi faire de lui même, c’est le moment parfait pour clore l’enquête sur qui est Bart Gunn. James Storm le regarde en riant, il ne semble pas avoir un grand respect pour l’homme qui est devant lui présentement.

James Storm » Clooney, tu sais que tu es la pire chose qui soit arriver à la Nation of Wrestling, tu es là à rien faire pour ta paie, alors que nous on travaille à la sueur de notre front, mais sinon j’ai besoin de toi sur le champ, je peux même tenter de te ramener ta putain de machines si tu m’aides à connaître un peu plus la personnalité de Bart « Shot » Gunn.

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Clooney » Je peux pas dire grand chose sur lui, je l’ai vu se battre dans le ring, il a du talent, il est assez athlétique et il peut faire mal à son adversaire, mais il n’a pas été chanceux jusqu’à présent, il a perdu la semaine dernière. What else ? Hey tu es pas le gars qui a gagné à cause de moi à Virtual Pain.

James Storm » Ça se peut bien oui, je ne me rappelle plus vraiment de cette journée si tu vois ce que je veux dire, j’ai bu beaucoup de bière durant cet événement, mais je dois avoir gagné, car j’ai toujours le titre Free-League, mais il y a une chose dont je suis certain, je ne crois pas que la chance ait joué quelque chose dans cette défaite, la malchance plutôt. Il manque probablement de talent, il a quand même perdu Ted Dibiase et Tyler Durden, deux gars que je pourrais battre comme ça, en claquant des doigts, ce n’est pas pour rien que j’ai ce titre Free-League, j’ai dû faire beaucoup de sacrifice, j’ai dû battre beaucoup de monde pour me rendre où je suis et je n’ai pas eu besoin de chance, c’est mon talent et mon intelligence qui m’ont permis de me rendre où je suis présentement et personne ne peut m’enlever ça, tu sais Clooney, le seul fait de me dire que sa seule malchance l’a fait perdre m’a donné une confiance et une colère qui vont me permettre de triompher cette semaine, lors de Now or Never #22, je suis sûr que je vais rentrer de la même façon que je vais en sortir, c’est à dire comme un gagnant qui n’a pas l’intention de perdre comme une petite lopette de philosophe ou psychologue de merde. J’ai resté dans l’ombre dans les dernières semaines, mais cette fois c’est terminé, je ne veux plus être dans l’ombre et ça c’est grâce à toi Clooney que j’ai pu me rendre à l’évidence que je suis le meilleur lutteur de cette fédération et pour ça Clooney, je ferai tout en mon pouvoir pour récupérer ta petite machine, mais je dois aller voir qui pour ça tu penses ? Pas la binocle j’espère, car je ne peux pas le blairer celui là. De toute manière, cette semaine en sera une où le vrai James Storm va sortir, What Else ?

Storm quitte Clooney avec un sourire aux lèvres, il prend une gorgé de bière et quitte le champs de la caméra, mais il revient rapidement ou la caméra là rejoint rapidement, mais on s’en fout, l’important c’est qu’il soit là.

James Storm » Ha ha! Assez mélangé le narrateur, tu vois que je peux être de bonne humeur quand je veux, tu ne vas pas perdre ton emploi. Sinon, pour ce qui est de toi Gunn, je sais que tu tenteras de me battre sur mon terrain lors de ce Now or Never, mais je ne ferai pas là même erreur deux fois, je ne vais pas laisser quelqu’un me battre sur mon propre terrain une deuxième fois en deux semaines, la semaine dernière était un erreur de parcours, mais cette fois je n’ai pas l’intention de me perdre dans cela. Aujourd’hui commence une longue marche pour moi, une longue marche vers la gloire et c’est drôle, je sens déjà que Never Backdown arrive à grand pas où j’ai bien l’intention de redevenir Universal Champion et si la première se trouve à être toi, en bien, je n’aurai pas le choix, je vais te défoncer, pas comme tu espères me défoncer j’en suis sûr, car comme tu peux le savoir, nous ne jouons pas pour la même équipe, Magloire m’a tout dit plus tôt. Perdre n’est pas une option et j’ai bien l’intention de me battre pour le pouvoir et de devenir le champion le plus prolifique de cette fédération. Sinon, Gunn je n’ai plus qu’à te dire qu’après cette petite enquête dans les backstages de la Nation of Wrestling que je te souhaite bonne chance, mais je ne te ferai pas de cadeau, c’est pourquoi le bonne chance va bien tôt devenir un Sorry About Your Damn Luck, bitch ! Que je suis bon à la caméra, je suis vraiment…

Sur ces mots, la caméra se coupe, donc Now or Never #22 arrive à grand pas et ne ratez pas ce match qui sera probablement extraordinaire entre le champion Free-League, James Storm et son opposant Bart « Shot » Gunn et tout cela en direct de Asheville, Caroline du Nord et seulement à la Nation of Wrestling.

C’était l’histoire d’un cowboy. Bien solitaire. À la Lucky Luke. Bref, le genre de cowboy qu’on vous présente hollywoodiennement depuis des lustres. John Wayne. Et puis Clint Eastwood. Ces grands western qui bercent notre enfance. Chevauchés à travers le désert, secours de demoiselles en détresse, arrestations de bandits, duels sous le soleil de midi. Saloon. Far West. Vous voyez le genre. Enfin, ce genre d’image quoi :

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Je connais, vous connaissez.

Bart Gunn
Vous me blasez. Ce genre de trucs existent plus depuis toujours. Les cowboy aujourd’hui ? Des soûlons ou des lutteurs.

Il n’existe plus beaucoup de cowboys, c’est bien vrai. Il reste néanmoins quelques vestiges du passé, remis au goût du jour. Des chanteurs country. Des acteurs de moins en moins western mais toujours cowboy. Tommy Lee Jones. Heath Ledger. River Phœnix. Et puis, si je suis d’accord avec le fait que les pitoyables porteurs de bottes de cuire/boucle de ceinture avec un serpent/chapeau cheap/veste de jeans des bars avoisinants le reste des villes ne sont pas de ce monde de réelles légendes vivantes, pourquoi les lutteurs, eux, ne le seraient-ils pas ? Un duel dans un ring ou devant un saloon reste un duel. Tradition cowboy.

Bart Gunn
Hahahaha ! Vous me faites bien rire. Comme si moi, Blackjack Mulligan ou bien James Storm sont de vrais cowboys ! Nous sommes des types habillés pour jouer un rôle, puis déshabillés pour combattre. La lutte, c’est franchement n’importe quoi, dans cette optique-là.

L’histoire commence au Nevada, alors que le cowboy en question traversait le désert troué à cheval. Fatigué. Épuisé. Le cowboy voyait, mangeait, vivant le sable. Et ces trous, partout. Si Las Vegas devait cesser d’existé du jour au lendemain, ces trous, remplis de d’argent et de sang, seraient la preuve que la ville a déjà été là. Le désert faisait vomir le cowboy, qui préférait les vallées du Dakota et de l’Idaho.

Bart Gunn
C’est moi, ce cowboy, en passant. Le narrateur a un parti pris. Le salaud.

Il se dirigeait au sud, vers la frontière texane. Une destination comme une autre. Rien ne pressait, rien ne presse jamais. Tout est fleuve, rien n’est rapides. Là-bas, au sud, la rédemption. Enfin. Après tout ce temps passé, ces années, ces mois, ces minutes, effacés une bonne fois pour toute. Un dernier adversaire et ce serai enfin la fin. Limite. Déjà-vu. Frontière.

Bart Gunn
Me reste qu’à faire ce duel avec ce cowboy, James Storm. Il est champion, hein ? Boff… À vrai dire, que le bat ou que je me fasse battre, ça n’a peu d’importance. C’est la dernière fois, comme tu dis, alors à quoi bon s’en faire ? James Storm, c’est un cowboy, lui aussi. Un type talentueux j’imagine. Enfin, comme tous les autres. Il se perd dans la masse, au milieu de tous ces jeunes lutteurs qui peuvent – et vont – devenir grand. Il est toute cette jeunesse, mais il est personne à la fois. Il est anonyme je veux dire. Un type qui est là pour la rançon, pour la gloire, pour les titres. Mais tout ça, ça n’a peu d’importance. Son parcours va se finir au même point que tous les autres, et c’est à ce moment qu’il se rendra compte de ce qu’il a raté. Un lion aux dents longues, qui grogne, qui mord, mais passe à côté du soleil, de l’arbre, de l’univers pour courir après la gazelle. Et puis, on va pas se mentir, tout n’est que gimmick. Jouer un rôle, c’est facile, tout le monde le fait. Je le fais, il le fait, et puis voilà, c’est comme ça que ça marche. Mais ça contribue aussi à passer à côté de la plaque. Et ça je l’ai compris. L’arrêt volontaire avant l’arrêt imposé. Rien de plus.

Le sud se rapprochait, le combat aussi. L’espace et le temps étaient à la porter du cowboy solitaire. Pas d’embûche. Il n’y a jamais d’embûche non plus. C’est un mythe ça. Les histoires – les vraies – sont banales. Le point A va au point B sans passer par le point C, sinon ça serai trop compliqué, personne ne veut ça, alors tout le monde l’évite. Le cowboy s’est rendu à sa destination sans histoire. Le trajet était sobre. Pas de parcours du combattant, pas de fanfares ni trompettes, juste un homme qui arrive dans cette ville pour faire son dernier combat. Pas de quoi en écrire aucun texte.

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Il ne reste maintenant plus que quelques heures. Pas de panique. Aucune réaction en fait. C’est vide. Juste vide. La vie après ce match. Peu importe. Le match n’a pas de valeur. Pas vraiment. Ce n’est que symbolique. Mais symbolique de quoi, ça, personne ne pourrait le dire. C’est un peu comme un sportif qui joue son dernier match. Oui, c’est important. C’est marquant. Symbolique. Mais ce n’est qu’un match.

Bart Gunn
C’est la rédemption qui compte, pas le match. C’est pour ça que James Storm ne signifie rien. Le match non plus. Que je le perd, que je le gagne, ça ne change rien. Et après aussi, ce ne sera que du vent. C’est ça la vie. Rien. Une idée. Rien.

Bonne nuit.